Les goélands agacés par les cris des Parisiens, de plus en plus nombreux sur leurs plages.
Re ‘zo re, trop c’est trop !
C’est le cri d’alarme que poussent les goélands en Bretagne. En effet, ils n’en peuvent plus de supporter les cris des Parisiens sur leurs plages. Ainsi que sur l’ensemble de leurs territoires naturels. Les goélands agacés par les cris des Parisiens … mais pas seulement par leurs cris !
Leurs espaces vitaux sont littéralement envahis par des hordes de Parisiens. Surtout pendant la saison estivale. Plus d’espace pour se reposer sur les belles plages de sable bretonnes, entre deux longs vols au large.
Les Parisiens crient tard dans la nuit et le sommeil des goélands s’en trouve très perturbé.
C’est selon les conditions météorologiques …
Quand le soleil est présent de le ciel bleu, les conditions de vie des goélands en Bretagne sont les pires. En effet les Parisiens s’étalent avec des congénères d’autres origines sur les plages, interdisant ainsi tout accès aux goélands. Par contre, comme ces jours-ci, si le ciel est couvert et les conditions pluvieuses, les Parisiens rentrent dans les terres ou restent dans leurs logements, attendant l’accalmie. Les goélands peuvent alors retrouver leurs aires de vie normale.
En attendant la fin de cette migration saisonnière qui leur rendra pour quelques mois leurs plages.
Conversation de quelques goélands bretons se plaignant des cris des Parisiens …
Une certaine presse se fait écho ces jours-ci de l’agacement des Parisiens face aux cris des goélands qui peuplent les toits de leur agglomération.
Ces quelques lignes tentent une réponse des Goélands de Bretagne.