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De nos Correspondants Erwann LE COZ à Fougères et Gaëlle YAOUANK à Nantes : des migrants arrivent en masse !
Selon des indiscrétions obtenues de source sûre par nos deux correspondants, les autorités ont actuellement en leur possession des renseignements faisant état d’une arrivée massive de migrants, prochainement, en Bretagne.
Des familles entières, mais aussi des groupes de jeunes, auraient l’intention d’entrer en Bretagne. C’est imminent. Avec certainement un pic entre fin Juillet et mi-Août.
Des regroupements familiaux sont également à craindre. En effet, plusieurs de ces migrants ayant déjà de la famille installée chez nous.
Pourquoi la Bretagne ?
L’Europe est vaste, alors en effet, pourquoi ces migrants choisissent-ils la Bretagne ?
Pourquoi la région nantaise et pas les environs de Charleville Mézières en France ou de Castelblanca au coeur de l’Espagne ?
Pourquoi veulent-ils venir en Pays Bigouden. Mais pas dans les Ardennes françaises ou les Pouilles italiennes ?
Selon les informations dont nous disposons actuellement, ces migrants choisiraient de venir en Bretagne pour des raisons essentiellement d’ordre climatique et environnemental. On parle de réfugiés climatiques pour des îles exotiques lointaines. Les migrants climatiques sont maintenant à nos portes !
Ces migrants vont entrer en Bretagne par nos frontières de l’est.
Le migrant ou le réfugié a eu de tous temps la même motivation à son exode. Pour diverses raisons, je ne suis plus bien chez moi et je vais donc m’installer ailleurs. Il en est de même d’ailleurs des oiseaux par exemple. Qui migrent pour trouver temporairement une meilleure nourriture et des conditions climatiques plus acceptables.
Les migrants qui vont envahir la Bretagne bientôt n’en peuvent plus de (sur)vivre là où ils sont aujourd’hui installés. Et ils vont entrer en Bretagne par nos frontières de l’est. C’est à dire par la Loire Atlantique et l’Ille et Vilaine. Pour mieux vivre, ne serait-ce qu’un seul mois d’été. Ils viendront essentiellement de France, mais aussi d’autres pays de l’est, comme l’Allemagne, la Belgique, les Pays-Bas …
La Bretagne va leur offrir tout ce dont nous, Bretonnes et Bretons, bénéficions en permanence.
► Des conditions climatiques idéales :
L’été s’annonce caniculaire à l’est, et notre situation géographique est stratégique de ce point de vue. Cette situation va permettre à ces migrants de souffler un peu avant de retourner dans leur fournaise. A laquelle s’ajoute très fréquemment une pollution atmosphérique que nos vents atlantiques nous épargnent.
► Une alimentation plus saine et plus variée :
La Bretagne va offrir à ces innombrables familles une nourriture plus riche et plus variée que ce qu’elles mangent habituellement durant l’année. Surtout en privilégiant les produits de la mer et les produits frais. Ayant souffert tout au long de l’année d’une alimentation peu variée, ces migrants devraient apprécier aussi, n’en doutons pas, certains produits traditionnels, comme nos crêpes accompagnées d’un cidre ou d’un jus de pomme naturel.
► Un environnement plus sain et plus sécurisé :
Vivant souvent dans des zones conflictuelles, ces familles, et nous pensons surtout aux enfants, trouveront chez nous en Bretagne un climat plus apaisé. Où les gens savent encore se saluer et sourire à l’autre.
La Bretagne est terre d’accueil et de partage.
Hébergement.
Les autorités prennent actuellement toutes les mesures pour héberger correctement ces migrants. Beaucoup seront hébergés dans des tentes, surtout dans les régions côtières du pays. Mais également dans des hôtels qui se préparent à cet afflux massif, et même chez l’habitant. L’hospitalité bretonne n’est pas un vain mot, et des milliers de familles bretonnes s’empressent de préparer sur tout le territoire, qui une chambre, qui un gîte, pour recevoir le plus dignement possible, ces migrants temporaires.
Transports.
Concernant les moyens de locomotion, un programme est en cours d’élaboration par les autorités compétentes, afin de gérer au mieux cet afflux migratoire exceptionnel. La plupart de ces migrants arriveront en voiture, le plus souvent lourdement chargées, et parfois de très loin. Pressés d’arriver au plus vite, les autorités devront mettre en place des zones de repos et de détente dès leur arrivée sur notre territoire.
Un sondage récemment réalisé parmi ces migrants montrent qu’un des intérêts de venir en Bretagne, c’est aussi la gratuité totale du réseau routier. Des trains supplémentaires seront également prévus pour l’acheminement de ces familles de réfugiés, et on attend aussi un flux migratoire important du nord par bateaux. Des informations laissent prévoir en effet que de nombreuses familles opteront pour la traversée du Channel sur de nombreux navires.
Mais ces migrants ne restent pas longtemps.
Et comme nos hirondelles et nos linottes mélodieuses, ces migrants saisonniers, que d’aucuns appellent aussi « touristes », re-migreront dans l’autre sens, dès les premiers frimas bretons. Ces migrants sont en effet majoritairement sensibles à nos crachins et brises marines, et à la fin Août, repus d’iode et de soleil, d’air pur et de repos, ils s’en retourneront vers leur est plus ou moins lointain.
Cet article n’avait qu’un seul but, celui de traiter de façon décalée et avec un brin d’humeur, du sujet de la migration annuelle et estivale des migrants touristes, et non pas, bien sûr, de celle des migrants réfugiés, bien plus délicat par ailleurs.
Nous vous remercions de votre bonne compréhension.
Tout commentaire raciste et xénophobe sur nos réseaux sociaux sera supprimé
20 commentaires
« le vieux » à Fougères et la « jeune » à Nantes… c’est pour de vrai ou les noms des reporters sont inventés ?
Inventés pour les besoins de la cause. Merci
« Selon des indiscrétions obtenues de source sûre » c’est un peu court non ?
6 mois plus tard où en est-on ?
Bonjour. S’il vous plaît, relisez l’article. Nous parlons des touristes qui chaque année, sortes de migrants temporaires, envahissent la Bretagne, pour venir s’y reposer, s’y ressourcer et profitez de notre qualité de vie. Ils viennent en début d’été et s’en retournent en fin. Jusqu’à l’année suivante … Merci de votre commentaire.
Ha ne vo netra e brezhoneg war NHU Bretagne ? Une seule langue pour une Bretagne positive et ouverte au monde, c’est pas un paradoxe ?
Bonjour. Oui en effet, cela peut être, à très juste titre, perçu comme un paradoxe. Maintenant NHU Bretagne, le site web, se présente comme francophone, donc il n’y a pas de surprise. Nous avons éditez deux articles en brezhoneg. Trop peu eveljust ! NHU Bretagne est une plateforme collaborative, bretonne et citoyenne, et tout brittophone, au même titre donc que tout francophone, peut devenir Rédacteur ou Rédactrice dans nos colonnes. Avis aux amateurs donc. Pour l’anglais, nous avons un projet, pour aller dire au monde ce qu’est la Bretagne, notre Bretagne. Fanny, vous êtes déjà Rédactrice pour un autre média breton n’est-ce-pas ? Nous pouvons continuer la conversation : contact@nhu.bzh. Trugarez dit. A galon.
Qu’ils partent où ils veulent. On n’a pas besoin d’eux. les migrants ça commence à bien faire.
Bonsoir. Avez-vous bien lu l’article ? On ne parle pas des « migrant » comme vous semblez l’entendre, mais des migrants que sont les touristes qui vont venir en Bretagne dans quelques jours pour quelques semaines, et s’en repartiront ensuite. Preuve en est qu’il faut lire avant de commenter. Merci de votre commentaire.
Bravo pour l’humour !
On constate que certains ne savent pas lire et manquent cruellement du sens de l’humour.
pourtant ils votent !
Py Gall
Je ne comprends pas bien le but de cette article. Vous êtes conscient que le seul titre suffit à être repris par toute les immondes saloperies qui pullulent sur les réseaux sociaux. Je ne suis pas persuadé que la pub soit bonne pour NHU Bretagne
Bonjour Maxence.
Dernière ligne de l’article : « Cet article n’avait qu’un seul but, celui de traiter de façon décalée et avec un brin d’humeur, du sujet de la migration annuelle et estivale des migrants touristes, et non pas, bien sûr, de celle des migrants réfugiés, bien plus délicat par ailleurs.
Nous vous remercions de votre bonne compréhension ».
On doit encore pouvoir écrire le mot « migrants » en Bretagne librement. La définition du mot est rappelée dans l’article. Arrêtons d’être conditionnés par un diktat venu de Paris qui nous dit, sur tous les sujets, que penser, que dire, etc … Quand on lit l’article, on doit comprendre de quoi il s’agit vraiment. Cela démontre aussi que de nos jours, un mot peut être « mal » interprété parce qu’une certaine pensance le réduit à un seul sens. Les mots ont un sens. Merci de nous suivre
Merci pour cet article. Et tant pis pour les pisse-froids politiquement corrects et parisiano-centrés qui manquent d’humour.
Ils finiront dans leurs tours d’ivoire de bien-pensants, en compagnie des cerveaux étroits qui les accompagnent.
Mersi deoc’h, ur wezh all
C’est ÉVIDEMMENT de l’humour – quel que soit le degré, à tous les niveaux… – et il n’est pas ici question de colonisation de peuplement, venue d’autres continents.
Oui je suis arrivé au bout merci. Néanmoins votre article est repris sur les RS sur la base de son titre et il sert de défouloir à bon nombre de tarés de la toile. Je persiste à penser que votre explication intervient bien trop tard. Bonne continuation
Il faut expliquer l’humour?
Merci de donner votre sentiment.
A galon,
Sparfell
Normalement non…
Demande de visa uk
Bonjour,
puisque que La Rédaction nous rappelle que l’on peut encore parler librement en Bretagne, je me permets d’ajouter ma pensée au débat, ayant bien lu l’article comme les commentaires. Je précise en avant-propos que, malgré peut-être le ton utilisé, mon but n’est pas de faire procès de la rédaction, de l’article ou de demander la suppression de celui-ci. Je ne suis, fort heureusement, pas de la Police de l’Humour ni partisan de la pensée uniforme. J’espère seulement que mon opinion pourra entraîner une réflexion et pourra être accueillie avec ouverture, sans campement sur les positions. Je suis désolé de la longueur du commentaire : je tente de développer au maximum ma pensée afin d’éviter de mauvaises interprétations. J’écris ce commentaire sans haine ni colère ni intention d’irrespect.
Je me range du côté de Mp29 -qui s’est fort bien exprimé.e- et ne pense pas qu’il s’agisse d’un quelconque « diktat » parisien que de trouver l’article douteux ou d’avoir des sentiments mitigés à son sujet. Vous remarquerez que deux autres commentateurs ont, par ailleurs, usé de l’article comme d’un trapèze pour l’expression de leurs sentiments anti-migrants. Exprimer une inquiétude envers le fait que cet article puisse être tordu et réutilisé afin de justifier un mépris voir de la violence envers les réfugiés ne semble donc ni irraisonnable ni illogique. Je comprends la position défensive de La Rédaction, qui a beaucoup travaillé à cet article et ne l’a pas posté avec de mauvaises intentions et pensait, bien au contraire, dérider les lecteurs. Mais quid des conséquences? Je fais peut-être parti des « pisse-froids », mais en tant que rédaction, vous touchez un public large, que vous ne pouvez contrôler. Vous avez cependant le contrôle sur ce que vous postez et laissez dire. Il est aussi de votre responsabilité de réfléchir aux conséquences de ce que vous diffusez, il me semble. Il est peut-être plus facile de vous convaincre que ceux qui soulignent ces faits ou critiquent l’article sont dénués d’humour ou de capacités de compréhension que d’écouter ce qu’ils disent, vous demandez pourquoi ils critiquent et enfin vous remettre en question.
Vous dites que vous ne parlez « non pas, bien sûr » « des migrants réfugiés », admettant que ce sujet est bien plus délicat…pourtant il est évident que vous avez écrit cet article en jouant sur la confusion. En utilisant le terme « migrant » en sachant très bien comment les lecteurs l’interpréteraient et le poids qu’il a dans les débats actuels. Pouvez-vous honnêtement dire que vous n’avez pas repris les codes de langages des groupuscules xénophobes, que ce ton n’est qu’une coïncidence et que le fait qu’il attire des anti-migrants en commentaires en est une également? J’ignore également à quel degré les autres lecteurs ont trouvé cet article drôle. J’ignore s’ils se sont tordus de rire ou ont ri si fort que leurs plafonds s’en sont fendus. Pour ma part j’ai plutôt soupiré et serré la mâchoire. Dans la balance, pensez-vous honnêtement que votre article fait plus de bien qu’il n’a fait ou ne risque de faire du mal (ne serait-ce qu’en normalisant le ton/la forme de rédaction des groupuscules xénophobes)?
Vous dites également en commentaire « Arrêtons d’être conditionnés par un diktat venu de Paris qui nous dit, sur tous les sujets, que penser, que dire, etc … « . L’idée superficielle est bonne : nul Breton ne devrait avoir à se soumettre à des standards non-Bretons. Les Bretons sont bretons et les Parisiens parisiens. La culture Parisienne n’est pas celle de la Bretagne et est, de plus, celle d’un oppresseur irrespectueux….cependant la façon dont vous utilisez cette idée en commentaire est, à mon sens, biaisée. Premièrement, j’ai vu des variantes de celle-ci utilisées par des non-Bretons répétant ce qu’ils avaient entendu dire sur le « politiquement correct » et la « bien-pensance » ou pourquoi « le Système » est une nuisance et ceux-ci étaient de tous bords politiques et classes sociales et voulaient, en utilisant cet argument, paraître mieux informés qu’ils ne l’étaient et faire argument de sagesse et autorité sur tout n’importe quoi. En fait j’ai entendu tant de variantes de la même phrase accusant des populations différentes que cela me fait penser que cela n’a rien d’une idée(ologie?) Bretonne.
Deuxièmement, en quoi trouver l’article douteux serait plus Parisien que les positions anti-migrants? Pour autant que je sache, la droite comme la gauche sont des concepts Français importés en Bretagne et qui n’ont apportés que la division entre Bretons, comme jadis le dilemme entre le Cygne et le Loup, l’anglicisation ou la francisation de la Bretagne. En tant que peuple voyageur et historiquement oppressé, nous, Bretons devrions à mon sens être réceptifs aux richesses culturelles offertes par le monde ainsi qu’à la détresse d’autrui, sans pour autant nous sentir menacés dans nos racines, qui sont profondes et dans lesquelles nous devrions être à l’aise. Sans être centriste, il ne fait aucun sens pour la Bretagne d’être de droite ou de gauche, car elle est historiquement décentralisée, anticapitaliste, traditionnelle, pieuse (pas forcément Catholique, mais c’est un autre débat), socialiste et travailliste. Elle n’a pas besoin qu’un autre pays lui apporte cela, car c’est dans sa nature.
Les réfugiés ne nous ont pas arrachés notre culture (et certains se sont même enrichis de la culture Bretonne, en plus de leur culture d’origine ou/et de celle de leurs parents) mais les Français, les citadins tels que les Parisiens, symboles de la centralisation, si. S’attaquer aux migrants est une erreur de cible. Et utiliser le débat sur la migration et la confusion avec les réfugiés est une erreur de jugement, possiblement préjudiciable pour un groupe de personnes.
« Les mots ont un sens. Merci de nous suivre ». Vous n’êtes pas idiot et le commentaire auquel vous avez répondu ne l’était pas non plus. Vous comprenez tous deux le sens du mot « migrant », insulter la culture générale des gens pour déplacer le débat ne le fait pas plus avancer. Être passif-agressif parce que vous êtes piqué au vif ne vous donne pas la main sur le débat parce que vous postez en tant que « La Rédaction ». Aussi, je me permets de vous demander d’appliquer vos recommandations à vous même. Le mot « touriste » a un sens également, c’est pourquoi on l’utilise à la place du mot « migrant » quand on connaît le poids social et politique de ce dernier depuis que la droite et les xénophobes s’en sont emparés. On préfère aussi « touriste » sur une rédaction quand on sait choisir ses batailles ainsi que faire preuve de réserve et de compassion au lieu de se croire intellectuel et habilité à plaisanter sur un sujet, comme vous dites, sensible. Ce n’est pas de la bien-pensance, c’est la réalité des choses et des gens. Le débat est peut-être importé de France, mais il affecte les Bretons comme les Parisiens et surtout, dans la sécurité de nos foyers, sans avoir connu la guerre, la famine ou des bouleversement climatiques majeurs, nos mots et nos actions décident de la vie ou de la mort de personnes qui n’ont pas ces privilèges. Bretons comme Parisiens sont dans une mauvaise position pour plaisanter là-dessus. C’est un humour de potence si c’est le condamné qui plaisante, si c’est la foule et/ou le bourreau, cela fait parti de l’exécution.
Malheureusement, je pense que cet article bénéficie plus aux xénophobes et et fascistes en tout genre qu’au peuple Breton. Je pense aussi qu’il pourrait être réutilisé par d’autres -peut-être plus à gauche- pour justifier leurs idées reçues et propagées sur la Bretagne qui serait arriérée et raciste ou selon laquelle tradition=fascisme. Cet article ne cible pas les Bretons d’origine migrantes ou les Bretons touristes de la même manière qu’il n’exclue pas les Parisiens néo-nazis. N’est-ce pas ~légèrement~ problématique que d’exclure des minorités au sein de la population cible tout en invitant à la curée les populations critiquées? L’ambiguïté sur laquelle se positionne NHU Bretagne pourrait lui être autant préjudiciable qu’une position ouvertement raciste. Cela est fort dommage, car je rêverais de pouvoir discuter de sujets sur la Bretagne avec des Bretons sans être en eaux troubles/flou idéologique et risquer de soutenir des idées que je désapprouve et déshonorer ma morale. J’aimerais, dans la même ligne d’idée, pouvoir lire des articles sur la Bretagne qui ne soient pas de la propagande raciste vieille-France pseudo-royaliste et imbibée de fausses informations comme du politiquement(ou parisiennement) correct qui présente le PS comme sauveteur et crache sur l’ARB et les indépendantistes. J’espère qu’au moins, l’argument de la position morale vous fera considérer les choses différemment, si vous ne pouvez voir de vous-même le mauvais goût de l’exploitation de personnes qui sont en danger et meurent pour les comparer aux touristes ayant pour seul soucis leurs vacances et faire légèrement pouffer quelques lecteurs.
Évoluer et s’améliorer ne sont pas des crimes. L’article ayant été écris il y a plusieurs mois, comme les réponses aux commentaires, je gage qu’entre-temps vous avez réfléchi, grandi en humilité et appris à accueillir des critiques ou des opinions différentes des vôtres comme des opportunités de vous améliorer en apprenant des autres et plus comme des attaques personnelles sur votre personnalité ou la dureté de votre travail. Si vous devez répondre à ce commentaire, j’apprécierais que vous me fassiez une faveur et relisiez celui-ci plusieurs fois et réfléchissiez à vos arguments. En quoi mes arguments seraient objectivement plus faux ou moins valables que les vôtres. Le questionnement est une étape difficile mais nécessaire dans la vie et j’espère que votre égo n’y fera pas barrage et n’aveuglera pas votre éventuelle réponse.
En vous remerciant pour votre lecture, votre temps et votre attention ainsi que pour plusieurs de vos articles, que je trouve de qualité.
Bien à vous et bonne soirée/journée/tasse de café.
Bonjour,
Et merci beaucoup de ce long et fort intéressant commentaire. NHU Bretagne est une plateforme participative bretonne et citoyenne : tout est dit ! A ce jour, plus de 150 Citoyen(ne)s ont écrit sur cette plateforme. Sur de très nombreux sujets. Il est évident qu’aucun des près de 900 articles n’a fait l’unanimité. Aucun article, ni sur NHU Bretagne, ni sur aucun autre média, ne peut faire l’unanimité. Il y aura toujours les pour et les contre. Et c’est bénéfique pour l’échange. Espérons que cela puisse durer. NHU Bretagne veut aussi dire les choses différemment, quitte à déranger le Lecteur/Lectrice. Dire les choses avec les mêmes gants que certains médias mainstream ne nous intéresse pas. Nous savions bien sûr que cet article allait déranger certains. Tout comme nous le savions pour deux articles d’un Citoyen climato-sceptique, ou d’un autre prônant une agriculture industrielle polluante, etc … Ces articles émanent de Rédacteurs/Rédactrices bretons et/ou traitant de sujets ayant trait à la Bretagne. Si nous devions supprimer (ce que vous ne demandez pas) tous les contenus texte et images que des personnes nous demandent, NHU Bretagne ne parlerait que de météo et de kouign-amann. Et encore !
Nous sommes globalement d’accord sur ce que vous dites. Nous sommes très ouverts d’esprit et tenons à conserver notre totale indépendance et liberté d’expression. Dans ce cadre-là, nous ne nous interdisons pas l’utilisation de tel ou tel mot, parce que certains ont décidé de lui donner un sens spécifique et de l’enfermer dans un cadre. Le mot « migrant » a une signification, et un « touriste » est un migrant. Utiliser dans cet article les deux mots est aussi une manière de dénoncer cette appropriation de mots par une certain courant de l’opinion. Que nous respectons totalement, mais qui ne nous oblige en aucune façon à suivre.
Nos colonnes sont (relativement*) libres, aussi nous vous invitons à venir y rédiger et exprimer.
Nous prenons votre long commentaire comme une preuve d’une certaine réussite pour notre média : cet article vous a « dérangé » d’une certaine manière. Et c’est aussi un des buts de NHU Bretagne. De déranger un certain confort de pensée pour être un peu disruptif et amener à réfléchir sur tel ou tel sujet.
Sinon il y a Le Télégramme et Ouest France 🙂
Encore un grand merci de votre participation au débat.
Bien à vous également/A galon