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Yves CUNIN est passionné de photographie et aime notre pays, la Bretagne.
Quand on a des racines en Bretagne …
En effet les racines sont un élément constitutif essentiel de chaque personne. C’est souvent enfoui, parfois en surface, et souvent bien plus profondément. Toujours latent. Puis il suffit souvent d’un événement de la vie pour qu’elles se rappellent à nous.
C’est ce qui est arrivé à Yves CUNIN, le tout dernier Photographe à rejoindre NHU Bretagne et qui exposera dans nos galeries de photographies.
Mais laissons Yves CUNIN se présenter :
« Arrivé définitivement en 2006 en Ille et Vilaine, j’ai passé une trentaine d’année comme « mercenaire » dans l’audiovisuel en région parisienne. Victime d’un grave accident de la voie publique en 2004, j’ai été mis au rebut par la profession et je me suis réfugié dans le Pays Malouin là où mes grands-parents ardennais s’étaient déjà réfugiés en 1939.
Naturaliste dans ma « nature » je n’ai jamais été citadin et depuis 1991, je participais aux activités d’une société d’histoire naturelle en Champagne Ardennes (France).
On va parfois bien loin à coup de kérosène,
Alors qu’il y a moyen de s’extasier sur ce que la nature nous offre tout près, mais encore faut-il savoir s’arrêter, se pencher et regarder.
Le petit coin de Bretagne qui m’entoure, même si sa réputation est plutôt minérale en tirant son origine dans un volcanisme lointain, recèle aussi quelques trésors que j’ai essayé de mettre en valeur pour le plaisir de nos yeux.
C’est sans prétentions que je vous les livre.
Mais vous pouvez jeter un « œil » sur mon parcours en images: http://photographies-ycunin.jimdo.com/ et mon parcours professionnel: http://ycunin.jimdo.com
https://www.nhu.bzh/images-de-bretagne/
2 commentaires
Ou comment en accueillant des refugiés qui n’ont jamais choisis de l’etre, on s’enrichit de ceux que notre seul devoir etait de secourir, comme des gens de mer ne laisseraient jamais d’autres marins ou passgers se noyer sans leur porter assistance.
Merci à Yves Cunin d’avoir assumé si bien, si elegament cette filiation de coeur (la seule qui existe) avec son coeur, et traduit avec la Bretagne notre manière d’etre au monde. Ses yeux sont sans doute moins seduit par la symetrie qui n’existe que peu ici, que par le rythme secret, tres graphique de nos environements encore vibrants et connectés aux harmoniques profondes d’une terre dont nous n’avons pas encore cessé d’entendre la musique et avec laquelle par les pas de nos danses, par nos regards initiés, nous parlons la langue de l’humanité.
Trugarez bras
GCC
Merci, beaucoup, de tes beaux commentaires. A galon