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Tralalaleno*, l’ouvrage La Bière Bretonne reconnu au plus haut niveau international.
Succès dans la catégorie des Meilleurs Ouvrages Gastronomiques, cet ouvrage La Bière Bretonne de Gabriel THIERRY et Benjamin KELTZ des Éditions du Coin de la Rue à Dinan.
Les Gourmand Awards récompensent les meilleurs ouvrages internationaux autour de la cuisine et des boissons. Ces awards ont été créé en 1995 et cette année, l’évènement se déroulait en Chine, à Yantai.
Le gwenn ha du a flotté sur cette troisième marche de bronze. Juste derrière les drapeaux de deux états fédéralistes : la Suisse et les États Unis.
La première bière brassée en Bretagne ? En 1624, celle de John FAGAN un Irlandais installé à Kemper.
La première houblonnière bretonne ? Elle est installée en Loire Atlantique, dans le sud du pays.
Extrait d’une interview donnée par Gabriel THIERRY à www.bieresbretonnes.fr
« La Bretagne est une région à part à tous niveaux, et cela se ressent bien sûr aussi dans ses bières. Les brasseurs mettent en avant la langue ou les symboles de notre région dans leurs produits car c’est une motivation importante pour de nombreux consommateurs : consommer local et encourager la production armoricaine. On voit l’aboutissement de cette communication autour de l’identité bretonne dans le travail en cours mené autour d’une structuration d’une filière de la bière en Bretagne, de l’agriculteur au brasseur »
Selon ce site breton spécialisé en bières bretonnes, il existe plus de cent brasseries en Bretagne. Le Penn ar Bed est en tête avec vingt-six brasseries artisanales dont la fameuse D’istribilh. Suivi du Morbihan avec vingt trois et de l’Ille et Vilaine (dont la Rennaise RZN) avec vingt deux brasseries. En Loire Atlantique il y en aurait vingt et « seulement » dix-sept brasseries en Côtes d’Armor.
Ce bel ouvrage La Bière Bretonne est à retrouver aux Éditions du Coin de la Rue à Dinan
Une belle maison d’éditions bretonne à découvrir …
« La Bretagne, sans tabou et sous toutes les coutures. Cette région est un magnifique terrain de jeu pour les journalistes, les photographes, les auteurs que nous publions. Nous leur réclamons un regard inédit sur une problématique bretonne. Qu’il s’agisse d’un club de football, d’un emblème de la région, d’un homme politique… »
*Tralalaleno : quand ils sont fiers d’un résultat, les Français lâchent facilement un « cocorico« . Nous en Bretagne, on a notre Tralalaleno.
Sources : www.cookbookfair.com et www.editionsducoindelarue.com