Les langues régionales sont anti-françaises : Traduction en langue française par NHU Bretagne d’un article paru en catalan dans www.racocatala.cat
Le président français, Emmanuel Macron, considère que les dites « langues régionales » sont antifrançaises. Il l’a ainsi manifesté lors de la présentation de la neuvième édition du dictionnaire de l’Académie française : « La langue a été le creuset de l’unité de la France, la fabrique d’une nation. Dans le cas contraire, l’identité nationale se serait divisée entre les différentes langues vernaculaires et les patois, dont beaucoup existent encore, et qui sont un instrument de division de la nation ».
Cette vision ultranationaliste émerge chez un président qui, en 2021, a défendu l’immersion linguistique face à un jugement du Conseil Constitutionnel français qui le menaçait et s’est référé au catalan, à l’occitan, au basque, au breton et à l’alsacien comme des « trésors nationaux ». Deux ans plus tard, lors de l’inauguration des festivités de Villers-Cotterêts en tant que Ville Internationale de la Langue française, Macron a défendu le bilinguisme, le droit de l’exercer et a réclamé une plus grande reconnaissance et présence des « langues françaises » dans la vie publique. À cette occasion, il a prononcé un discours contraire à celui de l’Académie française, en qualifiant le catalan et les autres langues d’« essentiels pour la cohésion de la France ».
Récemment, Macron n’a pas souhaité s’engager sur la question de la reconnaissance de la langue catalane en Europe, ce qui affecterait évidemment la Catalogne Nord, et ne s’est pas exprimé publiquement sur la Loi sur le catalan en Andorre, comme le demandait la dirigeante du Rassemblement National, Marine Le Pen, qui la considérait « négative » pour les intérêts de la France.
Traduction en langue française par NHU Bretagne d’un article paru en catalan dans www.racocatala.cat
2 commentaires
Quand on élit un président, ça ne devrait pas être pour qu’il nous impose ses opinions mais pour qu’il mette notre intelligence collective au travail dans des conventions citoyennes qui lui diront ce que chacun des pays avec ou sans état constitutif de la France, de l’Europe et du Monde, veut pour lui à partir de ses besoins propres. La pente de l’histoire va dans le sens d’une régionalisation des gouvernances et d’une mondialisation de l’écologie, de l’auto-détermination des peuples à disposer d’eux-mêmes, de l’inviolabilité des frontières, de la circulation des biens et des personnes. Actuellement les marchands milliardaires polluent le monde entier, achètent la complicité des Etats, et veut mondialiser la soumission de tous à leur bénéfice. Guerres, mensonges, pollution généralisée voilà le résultat. Les médias officiels subventionnés, achetés, ne nous parlent que de ce qui fait peur pour nous faire obéir à leurs choix. Mettons au travail notre intelligence collective à partir de nos besoins : sécurité, nourriture, logement, etc… Ecrivons une constitution mondiale et une constitution locale (: les besoins sont différents selon les climats). Courage, mettons nos cervelles au travail. et ne suivons aucun gourou fut-il un grand savant, un grand général, un grand homme : il ne sera jamais un dieu. et l’intelligence collective fait toujours mieux qu’un très magnifique orateur-très-compétent. Le seul problème c’est de la mettre au travail et au service des peuples et du monde.
MACRON NE PROTEGE RIEN, IL DETRUIT TOUT. Vous étiez prévenus.
Avant même les élections de 2007, nous avons été deux médecins à publier son profil psychique très inquiétant : Le Professeur SEGATORI, de Rome, le bon docteur MELENNEC, breton. Les opinions de ces deux médecins ont été confirmées par un vingtaine d’autres, dont une bonne moitié de psychiatres. On les retrouve sur la toile.
Ils ont renouvelé leurs avertissements en 2002.
Qu’ont fait les Français ? Ils ont voté pour lui. Et les Bretons ? plus honteux encore. Mais eux, ont l’habitude : Mitterrand, Chirac, Hollande, etc … On a dit d’eux : ils voteraient pour une chèvre, si elle se présentait à leurs suffrages !
Nota bene : Rama Yade avait précédé les deux médecins cités ci-dessus. Elle avait préconisé qu’on le soumette à des test psychiques et intellectuels, et dénoncé sa totale incompétence.