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La vie politique continue durant nos vacances estivales …
On ne le répétera jamais assez: pendant la saison estivale, de nombreuses informations passent inaperçues. Alors qu’elles sont d’une importance capitale pour nous, pour nos enfants. Les Juilletistes partis le coeur léger, une seconde coupe du monde de football remportée par l’équipe de France et une météo très ensoleillée promettant des vacances mémorables, relayés par les Aoûtiens, c’est une bonne partie du peuple français qui se déconnecte de la vie quotidienne pour des vacances méritées.
C’est oublier bien vite que la vie politique continue. Et que des décisions sont prises. Habitués aux hausses diverses décidées pendant cette période, la plupart risquent de tomber de haut dès septembre. Les nouvelles médiatiques ne tarissant pas de pages météorologiques et répétant inlassablementde quelques polémiques (hier Benalla, aujourd’hui Alexis Kohler) réelles ne sont que des arbres cachant une forêt de mensonges . Mais aussi de décisions autant antidémocratiques qu’elles vont pourtant impacter sérieusement notre avenir comme celui de nos enfants…
Ainsi la loi dite Schiappa est de celles-là!
Elle aurait pu rester discrète si son contenu n’avait pas suscité quelques réactions. Souvent extrêmes, mais ô combien compréhensibles. Car cette loi touchant à ce que nous avons de plus cher. La chair de notre chair : nos enfants.
Promulguée le 3 Août 2018, cette loi est relative aux violences sexistes et sexuelles. Depuis votre lieu de villégiature, pour peu que vous ayez décidé de ne pas vous déconnecter totalement du monde, vous avez certainement été alerté par des réseaux sociaux, des pétitions etc … S’il est nullement question ici d’en ajouter aux intox véhiculées, je vous invite à prendre connaissance du contenu de cette loi par vous-même. Et de lire les éclaircissement du Monde (1) du 9 août dernier.
« Présomption de non consentement »
La loi Schiappa avait pour objet d’introduire la notion de « présomption de non-consentement« . Laquelle notion n’existait pas dans la loi précédente (Cf. Article 227-25 du Code Pénal). Mais comme bien souvent, la loi fut dénaturée par le Conseil d’ État. Ce dernier s’étant opposé à la « présomption de non-consentement« . Au passage, le Conseil d’ État est cette institution constituée de trois cent membres non-élus ayant un rôle de conseil du gouvernement. Également de juger de la constitutionnalité d’un texte avant même que le Conseil Constitutionnel n’ait été saisi pour en débattre.
Si la loi Schiappa du 3 Août dernier et le décret (2) du 25 Janvier 2018 relatif à la vaccination obligatoire témoignent de l’intérêt du gouvernement français porté sur la santé physique et morale des enfants de la République, le dernier texte adopté par nos chers parlementaires, la veille de leur trève estivale, se charge d’introduire dès la rentrée scolaire prochaine, trois journées consacrées à l’orientation sexuelle. De la santé aux droits de l’enfant, les législateurs décident de parler orientation sexuelle à nos progénitures dès le plus jeune âge (dès l’âge de quatre ans) …
On touche le fond!
Si le rôle de l’État est bien de protéger l’ensemble de ses concitoyens, il n’en reste pas moins que ces pareilles décisions viennent écorner sérieusement la liberté du citoyen et la responsabilité des parents.
Onze vaccins obligatoires.
En imposant onze (11) vaccins combinés aux enfants, dès l’âge de dix-huit (18) mois, sous peine de ne pouvoir être scolarisé ou admis dans une structure collective (ex: crèche), l’État interprète le principe de précaution en oubliant sciemment des alertes scientifiques. Des drames, sur lesquels les médias évitent bien évidemment de développer, témoignent déjà de cas d’autisme et de maladies dégénératives engendrées dès l’inoculation de ces vaccins.
Et ailleurs ?
Alors que l’Italie recule sur les dix vaccins obligatoires (3) pour tous les enfants âgés de six (6) ans (application de la loi repoussée à un an). Il est vrai que les militaires français ne sont pas vernis comme leurs confrères italiens. Ces derniers bénéficiant de vaccins combinés et multi-doses connaissent des milliers de décès et de cas de cancers directement liés à ces vaccins. Lesquels sont identiques à ceux des enfants. Car les « représentants » du peuple basés au Palais Bourbon adoptent aveuglément ce que Présidence décide!
Les lobbies pharmaceutiques.
Précisant que je ne remets aucunement en cause le principe même de la vaccination, mais celui des doses combinées et leur nombre, je rappellerai simplement l’épisode du vaccin contre l’Hépatite B en 1994 (ayant engendré des maladies neurologiques telles que la sclérose en plaque), et que bon nombre de pays européens ne semblant pas aussi soumis à l’influence des lobbies pharmaceutiques savent protéger leurs concitoyens (exemple de la Russie) en bonne santé sans pratiquer cette extrême.
Cours d’orientation sexuelle.
Ainsi, en introduisant des cours d’orientation sexuelle auprès d’enfants à un moment où ils sont les plus fragiles, l’État se substitue à nous, parents!
Le comble, au pays se vantant d’être celui des droits de l’homme. Le contenu des trois journées dédiées à cette information reste trouble et sera précisé sans nul doute. Mais uniquement via une circulaire de l’Éducation nationale à l’attention de tous les Rectorats. Bien loin de « L’Éducation, c’est la famille qui la donne ; l’Instruction, c’est l’État qui la doit. » (Victor HUGO), l’État outrepasse ses prérogatives. Ici en abordant un sujet relevant de l’éducation parentale et de l’expérience personnelle qu’auront nos enfants. Surtout à un âge où la majorité d’entre eux, n’en sont pas à ce stade de la découverte.
Et pour preuve que l’État sait prendre des précautions ! L’Éducation nationale ne compte pas communiquer aux parents, à l’avance, les dates de ces trois (3) journées. Afin d’éviter que des parents protecteurs ne soustraient leur(s) progéniture(s) de l’école aux mêmes dates.
Démocratie?
Quels Intervenants ?
Nonobstant ces considérations, je m’interroge sur les intervenants extérieurs à l’Education nationale. Ceux-là même qui seront habilités à approcher nos enfants, me basant sur une expérience personnelle.
L’apprentissage de la langue de Shakespeare fit son entrée officielle lors de la rentrée scolaire 2008 pour tous (?) les élèves de CE1. Trois ans plus tard, aucun de mes enfants scolarisés dans une école élémentaire du 14ème arrondissement de Paris ne recevant de cours d’anglais, j’ai proposé mes services, à titre bénévole, auprès de l’Éducation nationale. Sortant du Rectorat après un entretien en anglais, je retournai, habilitation en poche, disposé à enseigner l’anglais à des enfants de l’école primaire. Mais chemin faisant, un sentiment curieux allait remettre en question ma proposition. En effet quelle aurait été ma réaction en tant que parent, si j’apprenais qu’un parent d’élève, non-enseignant, venait à dispenser des cours dans l’école de mes enfants? La question d’aptitude à dispenser des cours incluant des capacités psychologiques à enseigner auprès d’enfants. Je pris alors la décision de ne pas faire « entrer un loup dans la bergerie ». La sécurité de nos enfants doit prévaloir sur l’obligation d’enseigner une matière…
Sauf erreur de ma part, les intervenants seront issus du tissu associatif. Lequel ?
Les personnes regroupées au sein du mouvement LGBT en feraient partie… Seront-elles éducatrices, psychologues, pédopsychiatres?
Je précise de suite n’avoir aucun grief envers la communauté LGBT. Et que je n’éprouve aucune gêne envers les enseignants,. Ceci quelques soient leurs orientations. Seules comptent leurs compétences et aptitudes à enseigner. A fortiori auprès des enfants les plus jeunes.
Enfin, aborder un sujet à un stade aussi précoce comporte le risque d’ouvrir les yeux de nos enfants sur un sujet auquel la majorité ignorait son existence…
Car n’en déplaisent aux ardents défenseurs de la République Française, l’État (et ses représentants) ne peuvent confondre Devoir d’instruction de ses enfants avec ce qui relève du formatage ou de la propagande. Force est de constater que bien des décisions prises à Paris sont contraires aux intérêts et aux valeurs que nous défendons en Bretagne!
Décisions prises à Paris et imposées en Bretagne.
Car non satisfait d’instruire nos enfants selon les intérêts de la France, quitte à user de révisionnisme et se passer de la richesse que constituent les particularités identitaires de toutes parties de l’Hexagone, sans citer les différents textes internationaux relatifs aux droits des peuples dont il renie sa propre signature, l’État français ne se contente plus de formater les « bons » citoyens de demain, il les oriente tout en les déculturalisant.
Parce que nos enfants n’appartiennent pas à l’État. Pas plus que les parents ne doivent déroger à leurs responsabilités envers eux. Ils ne sont certainement pas des produits manufacturés à la guise de l’État. Et leurs différences constituent une richesse. La différence ne doit pas faire peur. C’est être comme tout le monde qui devrait faire peur!
Je m’y oppose.
Pour bien des raisons, et de surcroît parce que je suis Breton, je n’ai d’autre choix que de m’opposer à toute forme d’autorité aussi méprisante qu’illégale envers nous tous. Au dit « pays des Droits de l’Homme », il existe tout un territoire qui ne cesse d’essuyer les plâtres de décisions oligarchiques prises à l’encontre de nos intérêts. La Bretagne peine à rester elle-même. Et ses élus (ceux qui représentent leurs électeurs avant de représenter leur parti) sont impuissants à défendre les intérêts de leurs concitoyens.
Non content de nous empêcher d’être ce que nous sommes et de détruire le pays dans lequel nous vivons. Également non content de casser le coeur même de nos campagnes en orientant toutes décisions en fonction de la capitale ou de l’Union Européenne, la France et les esprits jacobins qui la dirigent ne font que mépriser le peuple breton. Et se complaisent à l’acculturer, pérennisant ses exactions à l’encontre de ses droits fondamentaux. A commencer par notre liberté.
Interférer dans notre identité profonde.
Que l’État français assume ses prérogatives régaliennes en assurant toute protection à ses concitoyens et se contente de donner les moyens aux parents de protéger et d’éduquer leurs enfants! En aucun cas il n’a à interférer dans notre identité profonde. Et à fortiori en manipulant celle de nos enfants les plus jeunes. Au nom de l’unicité de la République ou de toute autre dessein, il n’a pas à décider ce qu’un concitoyen est et pense.
Ainsi, dérogeant à ses obligations d’instruction pour compter dans le futur sur des citoyens qui ne feront pas de vagues. E profitant d’une léthargie populaire grâce à la main-mise sur des médias, dois-je escompter sur un réveil de mes concitoyens bretons. Afin de ressusciter leur fierté avant que leur identité ne disparaisse. Et espérer qu’ils ne se décident à reprendre leur destin en main?
Liberté et Démocratie sont des valeurs intrinsèquement ancrées dans nos gènes celtes. Et ils avaient avec eux ce que l’on appelle le Courage! On ne peut faire l’autruche et croire que demain un Messie viendra nous sauver! Le sauveur est en chacun de nous. Encore faut-il pour les uns ouvrir les yeux et pour les autres, se faire violence…. A chacun de voir s’il se complaît à vivre dans un pays de pleutres et laisser à ses enfants un pays hostile. Sans âme et sans valeur…
Annexes
(1)- Le Monde, 9 août 2018: https://mobile.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2018/08/09/non-la-loi-schiappa-n-a-pas-legalise-la-pedophilie-ni-assoupli-les-regles-de-consentement_5340841_4355770.html
(2) – Décret n° 2018-42 du 25 janvier 2018 relatif à la vaccination obligatoire: https://www.legifrance.gouv.fr/eli/decret/2018/1/25/SSAP1732098D/jo/texte
(3) – Ouest-France, 7 août 2018: https://www.ouest-france.fr/europe/italie/italie-vers-l-abandon-des-vaccins-obligatoires-5913475
8 commentaires
Ainsi, j’apprends qu il y aurait «des gènes celtes» cela m interroge ….sur la pensée profonde de l auteur de cet article et sur le racisme en général….
Bonjour Torreben, et merci de votre commentaire. « Gènes », comme dans génétique. https://www.nhu.bzh/genealogie-genetique-bretagne/. On a tous des gènes à la naissance et aucun de nous n’a les mêmes. Et par la génétique on peut trouver des similitudes entre certaines personnes, entre certaines populations. C’est ainsi que génétiquement, les Bretons que nous sommes sont plus proches des Irlandais que des Corses. Ce n’est évidemment pas du racisme, mais seulement de la génétique. On appelle ces rapprochements des haplogroupes, que nous vous encourageons à mieux connaître via Google notre ami. L’Auteur de l’article ne parle pas de race, mais de gènes. Merci de ne pas tout mélanger, et de ne pas brandir le mot fourre-tout et pratique de racisme quand on parle de diversité et de science. Trugarez. A galon.
Bonjour,
Pardon mais je rejoins Torrebenn dans ses interrogations. Il n’est pas raisonnable de prétendre qu’on parle de science quand on dit que la liberté, la démocratie et le courage sont des valeurs génétiques. Sans parler de racisme, cela interroge surtout sur la place laissée à ceux qui ne relèveraient pas de cet « haplogroupe ». Pour moi, on peut être breton pour peu qu’on connaisse la Bretagne, qu’on l’aime et qu’on veuille la défendre, peu importe d’où l’on vient ou à quel groupe génétique on appartient. Il me semble que brandir des « gènes celtes » n’est pas compatible avec cette vision des choses : c’est faire une distinction basé sur autre chose que sur nos seules valeurs.
Refuser l’existence des haplogroupes et de la génétique, c’est comme refuser par exemple la géographie et l’existence de langues différentes sur notre planète Terre. « Faire une distinction » semble effrayer certains. Je refuse d’appartenir à tel ou tel haplogoupe. Du coup ne me dites pas que je suis Breton, ce serait « faire une distinction ». Quand à parler une langue différente … memez tra eveljust. Nous ne disons pas que la « liberté, la démocratie et le courage sont des valeurs génétiques » comme vous l’écrivez. Nous disons seulement et simplement que sur cette planète, il y a plus de sept milliards de personnes différentes. Ce dernier mot n’est pas un gros mot. Nous n’avons ni les mêmes passés, ni les mêmes gènes, ni les mêmes territoires de vie, ni les mêmes langues, ni … et malgré cela, nous pouvons vivre en paix et en harmonie. Nous n’avons jamais dit que pour être Breton, il fallait avoir x% de gènes celtiques, ou être né(e) sur le sol breton. Et tu as raison, il y a des personnes sans gène celtique, non originaire de Bretagne, qui sont au final plus Bretonnes que des habitants de ce territoire nés chez nous avec une généalogie bretonne longue comme le bras. C’est toi qui t’interroge « sur la place laissée à ceux qui ne relèveraient pas de cet haplogroupe ». Parce que tu lui fais dire ce qui n’est objectivement pas. Tu fais partie d’un haplogroupe, lequel mystère et peu importe. Il n’y a pas une appartenance qui serait supérieure à une autre. Nous sommes 4,6 millions d’habitants en Bretagne, et plus en diaspora. On s’en fou des appartenances, de la génétique et des origines. Mais tu ne peux pas nier qu’elles existent, et on a le droit d’en parler. Merci de nous suivre et ce participer au débat.
Je suis déçu par votre commentaire : NHU me parait plus censé que ça d’ordinaire. En effet, vous me faites dire paquets de choses que je n’ai jamais dites, et vos arguments partent finalement dans tous les sens.
Donc très brièvement, parce qu’un débat dans ces conditions me parait simplement impossible, mais parce que j’ai quand même du mal à vous laisser dire n’importe quoi :
1- nulle part je n’ai « refusé l’existence des haplogroupes », je dis seulement qu’à mon avis ça n’a pas d’importance dans la question bretonne, comme vous semblez vous-mêmes le dire finalement… sauf que c’est vous qui commencez par en parler dans votre article, si bien que je ne comprends pas trop à quelles fins si vous partagez cette opinion
2- nulle part je n’ai nié l’importance de la différence, et j’ai même du mal à comprendre où vous avez pu aller chercher ça dans ce que j’ai dit. Peut-être si j’avais simplement écrit « c’est faire une distinction » ? Et encore. Mais de toute façon j’ai écrit : « c’est faire une distinction basé sur autre chose que sur nos seules valeurs. » On peut ne pas être d’accord avec ça, ou ne pas y trouver de problème, et on peut bien-sûr le discuter, mais en l’occurrence ce n’est pas ce que vous faites : vous critiquez un propos qui n’a jamais été le mien (mais je conviens que c’est toujours plus facile)
3- A ce sujet, vous dites : « Nous ne disons pas que la « liberté, la démocratie et le courage sont des valeurs génétiques » comme vous l’écrivez ». OK, pardon… sauf que votre article dit (copier-coller) « Liberté et Démocratie sont des valeurs intrinsèquement ancrées dans nos gènes celtes. Et ils avaient avec eux ce que l’on appelle le Courage! ». Puis dans votre réponse à Torrbenn, vous parlez de science et d’haplogroupe. J’avoue que dans ce contexte, la différence entre nos deux phrases ci-dessus ne m’apparait pas très clairement.
Le pire dans nos échanges, c’est que j’ai l’impression que nous sommes d’accord sur le fond. Mais j’ai aussi l’impression que quelqu’un qui aurait des idées tout à fait contraires à ça pourrait parfaitement se sentir en phase avec vous par certains de ces propos que vous tenez.
@Torrebenn & Arskoliad:
Je vous accorde qu’il aurait sans doute été préférable d’insérer » gènes » entre guillemets, quoiqu’il ne soit pas sûr que cette option n’aurait pas entraîné un commentaire différent.
Ce terme « gène » constitue, je vous le concède, un raccourci ; outre le fait qu’il n’est nullement question de renier ce qui est, et prouvé scientifiquement, pour ce qui concerne les haplogroupes, lesquels identifient des différences entre population, il ne serait être question d’extrapôler et de parler de racisme lorsque l’on définie des différences. Ces dernières constituent une richesses pour tous.
Arskoliad:
100% a-du avec vous quant à l’importance de ce que l’on est, et fait, pour représenter un pays.
Je me situe loin de ceux qui souhaiterait que l’identité bretonne soit définie uniquement par le droit du sang ou du sol: être Breton se vie, se sent, et je considère que les enfants dont la Bretagne a besoin (comme pour toute Nation), sont ceux qui la vivent et la défendent, bien plus que ceux qui se contentent d’avoir un patronyme breton, d’être né au pays, de manger des crêpes le samedi soir et de fréquenter les nombreux festivals.
Je suis navré d’avoir pu vous heurté en employant une expression maladroite, mon attention première étant concentrée sur le sujet traité: la démocratie et le droit individuel venant une fois de plus s’immiscer dans nos vies les plus intimes.
Ci-dessous le lien d’une petite vidéo posant la question « Breton ou français », vidéo humoristique mais dont la citation de Xavier Gral qui la clos, résume le mieux le fond de ma pensée: « on ne naît pas Breton, on le devient, en…. »
https://youtu.be/UQbPobV1b4I
[…] https://www.nhu.bzh/vacances-ete-lois-vie-politique/ […]