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Bayrou, les « boomers » bretons te disent kenavo!
François Bayrou vient de trouver une nouvelle cible. Les « boomers ». Ceux qui, selon lui, auraient ruiné la France, creusé la dette, et saboté l’avenir des générations futures. En somme, les coupables parfaits d’un désastre dont il fut, pourtant, un des acteurs politiques. Quelle ironie. Quelle lâcheté. Car lorsqu’on cherche à détourner les regards de ses propres responsabilités, rien de plus simple que de désigner une génération entière comme responsable de tous les maux.
Or, cette méthode n’a rien de neuf. Elle s’inscrit dans une tradition vieille comme le monde : trouver une tête de Turc, la charger de tous les péchés, puis s’ériger en grand justicier. C’est l’astuce préférée des politiques en mal de crédibilité. Et François Bayrou, en vieux routier, la maîtrise sur le bout des doigts.
L’art du bouc émissaire
Tout au long de l’Histoire, les puissants ont utilisé ce stratagème. Les Romains accusaient les chrétiens des incendies de Rome. Plus tard, on blâma les protestants, les juifs, les francs-maçons, les immigrés, les communistes, et tant d’autres. À chaque époque, une cible commode surgissait, permettant aux élites de se disculper. Aujourd’hui, c’est la génération des boomers qui sert de paratonnerre.
François Bayrou ne fait donc que recycler une vieille recette. Il désigne une catégorie hétéroclite – des millions de personnes, riches ou pauvres, actifs ou retraités – et il en fait le cœur du problème. Le procédé est grossier, mais il fonctionne médiatiquement. Pendant qu’on discute de ces coupables de substitution, on évite de parler des vrais responsables : l’État central, ses choix budgétaires absurdes, et les politiciens qui, comme lui, ont participé à chaque renoncement.
Bayrou et les boomers ; le comble de l’hypocrisie
Qu’un homme qui fut ministre de l’Éducation nationale, plusieurs fois ministre de gouvernements centristes, et éternel conseiller de princes, ose accuser les boomers de la dette relève de la farce. Bayrou, comme tant d’autres, a voté ou cautionné des budgets déficitaires. Il a applaudi aux cadeaux fiscaux démesurés. Il a accompagné, par son silence ou son soutien, des décennies de centralisation coûteuse et d’investissements ratés.
Et aujourd’hui, il veut rejeter la faute sur les retraités qui touchent 1 200 euros par mois ? Sur les salariés des Trente Glorieuses qui ont bossé sans relâche ? Sur les petits propriétaires de pavillons construits dans les années 1970 ? Quelle indécence.
Bien sûr, il existe des boomers riches. Bien sûr, certains ont profité de la bulle immobilière ou de rentes dorées. Mais réduire toute une génération à cette caricature, c’est insulter l’intelligence. C’est nier la diversité des parcours. Et c’est surtout masquer le vrai problème : ce n’est pas la génération qui a créé la dette, ce sont les gouvernements successifs.
Une dette fabriquée par l’État central
Rappelons les faits. La dette publique a explosé à partir des années 1980, lorsque la France a choisi de vivre systématiquement au-dessus de ses moyens. Les gouvernements, de gauche comme de droite, ont dépensé sans réformer. Ils ont alimenté une machine étatique gloutonne, incapable de se moderniser. Bayrou était là. Il a soutenu cette mécanique, ou du moins, il n’a jamais rien fait pour l’arrêter.
Alors accuser les boomers aujourd’hui, c’est comme si un pompier pyromane accusait les spectateurs d’avoir apporté des allumettes. C’est absurde, mais ça fait diversion.
Les mêmes ficelles, encore et toujours
Il faut bien l’admettre : les dirigeants adorent pointer du doigt des catégories sociales. Bayrou le fait avec les boomers. D’autres le font avec les chômeurs, les fonctionnaires, les jeunes, les étrangers. C’est une vieille musique. Elle a un avantage énorme : elle divise la population. Pendant que les Français se déchirent entre générations, les vrais responsables poursuivent leur œuvre en toute tranquillité.
Ce jeu dangereux prépare un climat délétère. Car si l’on suit cette logique, demain ce seront les jeunes qu’on accusera d’être trop assistés, puis les enfants d’être trop coûteux, puis les personnes âgées d’être trop dépendantes. À force, tout le monde sera coupable, sauf ceux qui tiennent réellement le volant : les politiciens.
Un coup médiatique, rien de plus
François Bayrou sait que sa parole n’a plus beaucoup de poids. Il sait qu’il n’a plus ni parti, ni influence réelle, si ce n’est par son amitié avec Emmanuel Macron. Alors il fait ce que font tous les politiques en bout de course : un coup de communication, une phrase choc, une polémique facile. Peu importe la vérité. Peu importe la justice. Ce qui compte, c’est d’exister encore quelques heures dans le cycle médiatique.
Mais derrière cette posture, c’est toute une stratégie qui se dévoile : préparer l’opinion à accepter que les « vieux » paient la facture. Réduire les retraites. Culpabiliser ceux qui ont travaillé une vie entière. Tout en préservant les vraies rentes : celles des grandes fortunes, des multinationales, des banques.
Ne nous laissons pas tromper
Au fond, ce discours n’a rien d’anodin. Il est dangereux. Parce qu’il prépare la guerre des générations. Ill détourne la colère populaire vers de faux ennemis. Parce qu’il empêche les citoyens de voir la racine du mal : une classe politique incapable, qui préfère accuser ses électeurs que reconnaître ses fautes.
Bayrou a voulu faire croire que la dette française vient des boomers. La vérité, c’est qu’elle vient des politiciens comme lui. Ceux qui ont gouverné sans courage, sans réforme, sans vision. Ceux qui ont sacrifié l’avenir au présent, et qui aujourd’hui cherchent un alibi.
Kenavo Fañch!
Accuser les boomers est une absurdité. Une insulte. Et surtout, un mensonge d’État. L’Histoire regorge d’exemples de boucs émissaires inventés pour couvrir les erreurs des puissants. François Bayrou ne fait que répéter ce vieux tour de passe-passe. Mais il ne faut plus tomber dans le piège. La génération responsable de la dette, c’est celle des décideurs politiques. Et Bayrou en fait partie.
Selon la définition de base, les « boomers » sont les enfants du « baby-boom », c’est-à-dire les personnes nées entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et la fin des années 1960, qui ont donc aujourd’hui entre 55 et 75 ans.
5 commentaires
Prophecie de Nostradamus: » Les bretons, les vasques, er les corses defrenderent a la France ».
Michel Rousseau se a consideré comment de sang breton pour la cote de sa mere, Josephine Rousseau , nee Le Floch, que plus que de la cote de son pere Marcel Rousseau, que a ete berrichon. Que vive la bretagne.
Affligeant de voir un premier ministre qui accuse les peuples de France de profiter et d’avoir couler le navire !
Mr Bayrou est parti , la detet a commencé sous les centriste RI et ensuite UDF en 1974 sous Valéry Giscard d’Estaing , création du déficit budgétaire , Bayrou appartient à cette famille politique du centre indécise lors de ses choix politiques en fonction des intérêts électoraux du moment soutenant les RPR puis les UMP le pS en autres pendant les différents campagnes présidentielles depuis 1990 …
L’UE demandait 25 milliards de baisse de dépenses publiques , le maximaliste Bayrou s’est entêté à 44 milliards .
Ces hommes sont du passé , calculs politiciens et trahisons politiques à la clef ….
La crise n’est pas éteinte hélas , la dette demeure …
La France s’appauvrit un peu chaque année mais elle est riche et la contribution des + riches est nécessaire .
C’est une partie du remède présent .
La décentralisation sera un moyen de se redresser et de réformer le mille- feuilles administratif fait partie aussi de la solution .
Est ne pas Monsieur François Bayrou un boomer aussi?
Un peuple que ne pas de respect pour ses parents, grand- parents, est ne pas un peuple que a de histoire, en tant de que son notres ancetres que la ont fait la historie de un pays, que avec dignité ont eduqué a ses enfants, et an cree una nation, et de que a la fin avec cette historie, de la retraite de que les politiques de turn, ne pas faire de problemes a les retraites et de plus de les inculper de la triste situation en que se trouve le pays, est de ecute pour moi, tres triste et de politiques, de que se aventuren en la vie politue de un pays, et pour dire de choses que en ma concept sont de expressions de sin la rasoner, et de de doner de a la fin de ses jours, de despectives et avec manque de respect de discurses que sont comme un dard, et de que ont cotize, que ne pas gratuit sa retraite, et que se a mal inverti, que la argent que se depense en de guerres, en que se tue le corp mais ne pas le ame, faire de tan de mal pour cette monde et pour le anotre aussi, en que les mortes continuen la vie, la bas, de outre maniere, mais la continuen, ainsi de le temps de que le rest de vie en cette monde material, a
les retraite pour le etre recompensé, se le humillé avec de pretextes que ne pas faire de que ilustre la qualité de personnes de que sont de les personnes que dirigen un pays. La vie est pas trop long, et se passe le etre humaine en de travailler, pour pouvoir de vivre, en que an cotisé et de que le fond de retraites son investi en diverses affaires, et de que a la fin pas de argent pour les paye sa retraite, et de que est indigne de parle comme est de que est la retraite le motive de en que se trouve le pays.
A la fin quand le etre humaine a de morir en son corps material son ame, son corps espiritual a de
continuer la vie, en le au de la , et de politiques or no, quand arrive le temp de partir de cette monde , son ame que continue la vie, iré a ou ici a cherche de partir quand est de que est mort la bas, avec sa
conducte de ici, chaque personne fabrique sa vie comme lo desire et pouvez, a la morte est de que se apye toute de le mal de que ici se le a fait, nous a de penser bien de 1, 2, 3, ….. 10, 100…. et si le est necessaire de 1,000 de fois, en tant de que chaque personne en son Livre de la Vie, toute que se fait ici, est ecrit en cette libre, et personne pouvez effacer, aumenter or quiter ni une parole de cette libre, que toute le monde a, et de que en accord a lui, Dios nos a de judger. Ainsi pense bien avant de faire quelque choses, que aprés est bien registre en vitre Libre de la Vie. Quand une part a le au de la, rien de materiel est permo de amener la bas, seule de lo espiritualn de choses de le sprit sont permit et sa te a de servir la bas, mais de lo material de rien servir en cette anotre monde en que toutes sommes iguales, pareilles, sommes ame, corp de le esprit que est eternel, et de que le a done de vrai vie a votre corp material, visible. Aujourd’hui les personnes ont oublie de que son esprit – ame, est de que en vrau est de que le son, en un coup material pour Dieu done pour pouvoir de vivre en cette monde material.
Saint Louis est un exemple pour la France de aujourd’hui de comme est de que le francais a de vivre, et presque toute le monde si vivre en amour avec ses prochaines, cette monde est deja le paradise, mais le etre humaine se a aparte de Dieu, vivre un monde de sans Dieu et est avegle de la realité, et vivre une irrealité en la realite, et se complique la vie, et se la complique a de toutes, en pour le tant, convertir la vie en un vrai enfer avant de le etre.
Si se faire les Commandements de que Dieu nos a donne, la vie est plus facil en cette monde, mais le monde a tourne la tete contre son Dieu, de Clovis, de les Louis, etc, et le monde se a transformé en un vrai enfern terrenel. Toutes an de reflexioner avand de actuer, pour eviter de problemes a outres comme a sou meme.
En la cuestion de retraite , je a ecute parlé de annees avant, de que en la caisse a ete vide, et a ete mal gere. Sa je le a ecuté a Michel Rousseau, ainsi comme de beaucoup de choses de que en le moment actuel acontece et pour le mal de la humanité.
Quand moi et Michel sommes vecu en la Australie, sommes trouve unes copies de un livre que si titule » Les Protocoles de les Sages de Sion », de Nilus, que le a done a la Biblioteque de London, et nous sommes a de difficil de comprendre en tant de que se an dit de choses tres malsaines pour la humanite, et en le moment toute que est ecri en cette livre, se accompli en le moment actuel.
En le libre » Le Voyage avec Michel Rousseau » – de Aidé Romero Rousseau – Editorial Gidorolu- 2024, Lima- Perou, que sommes ecrit Michel et moi, livre en que je parle de mon voyage avec Michel Rousseau, en le passe, le present, et le future, lui a visioné beaucoup de choses que realité aujourd’hui sont, lui a lutte avec de diverses groupes secrets, que sont en realite que toute cette realité que se vive en le moment, a deja preparé de avant et de tres bien organise, en lo que se denomine Le Nouveau Ordre Mondial, et toute que a est seule de part de le programme deja preparé, .
Toute que se passe est ne pas normal, et quelque de une tire de les ficeles derriere, pour que toute se accompli, se est tout, et pour tant rassemble pour beaucoup de personnes toute que se passe de incomprensible, et de que le est aussi, es diabolique, je ne pas encontre de humanite en cette programme mondial, en que le proposite es le de la de detruir le monde, de la creation que a Dieu le appartiene.
Avec conducte de bien o de mal, nous merite que le corresponde en le au de la, , en tan de que ciel, enfer, et purgatoire existen et ici se prepare de a ou est de que chaque personne voulez parir al au de la. En le au de la, toutes sommes pareille, sommes ama, et les problemes de que le etre humaine fait ici et ne pas va a change la bas,, quand est morte continuere comme est de que le a ete, avant, la bas en le anotre monde personne ne pas pouvez change, et le que a de mal, continuer de mal en le au de la, et teindre que voulez la bas, le que a de personne de bien continuer de bien, nous sommes arrive ici ne pas pour faire de problemes a notre prochaine, sommes venu pour nos eleve en le esprit que est la vrai
vie pour le corp material, que a entendu sa, ne pas de probleme en cette monde material, la vie es temporel en cette monde material, et personne conne quand est de que de cette monde a le anotre a de partir, peut etre se nuite quand cous va a dormir, te reveillere demain en le au de la, et sere tard, de la bas ne pas se pouvez de revenir, a un ticket pour partir mais pas de pour revenir, et seule de meriter de que se merite se a la bas ou se sere pour Dieu judge, et a la fin rien de material une amene al au de la quand le temps arrive et se a de partir de ici, aprés sere tard pour change, en le au de la, se est lo que ici es que est, le faite de mal se payé tres chere en le au de la, et est necessaire de que se change ici, pour le bien, et se arrete de faire de tant de mal.
Vous , moi toute le monde en le au de la, sommes pareilles, a ne pas de differences de entre de riches et de pouvres, de brutes o de intelligentes, de noir o blanc, etc, ne pas de clases sociales , toures se rassember, sommes ames, et ici le etre humaine lutte pour de choses de que ne sont pas importants pour la mission pour la que ici sommes, de preparer notre ame, pour notre evolution et progression de le esprit, et de que Dieu nos a done de toute pour etre heureux, pour de que rien nos manque, et le etre human, a de haine, voulez de choses de que pour sa est de que ne as ici, mais de que quand le moment de partir a, sa opportunité de etre de bien et ne pas de mal se le termine ire a rester et pour toujours avec Satan, que cette demon exiset, en les abbys , en le enfer.
Dieu protege a la Bretagne et a les bretons.
Aidé Romero Rousseau.
Saint Yrieix La Perche –
Est triste la politique situation en que se a tombé la France. Se note un terrible manque de amour de la parte de les politiques de turne, en que le pays de ir comme est de que va se va tomber, ne pas seulement la la economic mais la situation de angustie que vive la population, si les politiques de turne sont ne pas capable pour conduire le pays, pour le minime de dignité si est de que la a de demisioner et laisse le chemin pour de personnes que aime le pays et sont capables de les bien conduir. La
histoire sera la que les condenne plus tarde . Je ne pas comprend de que comme est de que ne pas
sentir de frisson quand la population les a dit de que ne pas les voulez plus, me sont la, adorent la
position mais sont ne as capable de la continuer, le peuple ne pas les aime de plus et ils sont la, avec
ne pas de delicatesse se a de sentir de que quand personne ne pas les aime plus est le correct de
partir mais comme que rien acontece ne pas se voulez de partir. Le monde change beaucoup, le mal
est le bien et le bien est( le mal aujourd’hui, ne pas se a de abuser avec le peuple que quand est que le
malheur se installe, de revoltes se pouvent de manifester, et est mieux dese retirer avant de que le inevitable arrive.