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Le gui, la plante « qui guérit tout » des peuples Celtes

de Jean Pierre GAILLARD
Publié le Dernière mise à jour le

Le gui a de tous temps été considéré comme une panacée.

C’est une plante hautement chargée de symboles au point d’être indissociable de l’image du druide.
En feuilletant l’incontournable dictionnaire des symboles de Chevalier et Gheerbrant, on apprend que Pline déjà, dans ses « histoires naturelles », s’attarde longuement sur la description de la cueillette du gui. Qui avait lieu le sixième jour de la lune. Et était accompagnée du sacrifice de deux taureaux blancs.

Françoise LE ROUX et Christian GUYONVARC’H remarquent également que, si Pline semble dire que cette cueillette était diurne, il est troublant de constater la ressemblance symbolique de la serpe d’or avec le croissant de la lune à cette période de son cycle. D’autant que l’on sait que le temps était compté, chez les anciens celtes, en nuits.

C’est surtout le très rare gui de chêne qui était considéré comme sacré.

Et qui était le plus utilisé dans la magie végétale de l’ancien monde celtique.
Si le Breton moderne nomme le gui « uhel varr »: « haute branche », les autres langues celtiques, comme l’Irlandais ou le gaélique d’Écosse ont gardé dans le vocabulaire populaire la tournure « qui guérit tout ».
Plante médicinale, le gui a des vertus antispasmodiques et diurétiques. Également hypotensives et purgatives grâce à la choline, aux alcaloïdes et aux dérivés triterpéniques qu’il contient.
Cette image bénéfique est restée vivante jusqu’à nos jours et le gui garde ce rôle traditionnel qui est d’attirer la faveur du sort pour les jours à venir sur les foyers qu’il orne lors des fêtes de fin d’année.

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Le gui, le plante qui guérirait presque tout

Mais pourquoi cette plante atypique dont les touffes arrondies ornent les arbres avec lesquels elle vit a-t-elle été chargée d’une si forte symbolique ?

Pour essayer de le comprendre, il faut revenir à la botanique de cette plante.
Le gui, « viscum album » de son nom scientifique, est une loranthacée semi-parasite. Qu’on appelle également Bois de Sainte Croix, Verquer, Blondeau, Bouchon ou Vert de Pommier.

Les plantes parasites vivent totalement aux dépens de leur hôte. Car elles sont libérées des contraintes du sol et de celles du soleil. Puisqu’elles sont non chlorophylliennes et ne réalisent plus la photosynthèse.
Ainsi, semi-parasite, le gui puise dans l’arbre porteur la sève nutritive brute qui circule dans les vaisseaux du bois. Et qui est composée d’eau et des éléments minéraux qui sont nécessaires à la chimie cellulaire.

Le gui fait sa photosynthèse et il est même un exemple d’arbre semper virens, c’est à dire, toujours vert.
Il stocke la chlorophylle partout. Même là où les autres plantes n’en ont jamais.
Donc ses feuilles restent vertes en hiver ainsi que les tiges et le bois.
Ses minuscules fleurs sont vert jaunâtre. Et ses baies restent également vertes pendant les sept mois qui précèdent leur maturation.

Plus que de parasitisme, on peut parler d’osmose entre le gui et son arbre porteur.

Ainsi, en échange de la sève brute prélevée par les suçoirs, le gui renvoie à son hôte des sèves élaborées riches en substances nutritives qui émigrent dans l’arbre.
La démonstration de cette interaction a été faite sur un pommier porteur de gui à qui toutes les feuilles ont été coupées au printemps. Puis l’année suivante, on a constaté que l’arbre n’était pas mort et qu’il s’était de nouveau couvert de feuilles. Enfin, pendant six années consécutives, la même expérience a été renouvelée sans dommage pour l’arbre. Ce qui prouve que le gui avait réussi à maintenir la circulation de la sève. Non seulement il n’avait pas tué son hôte, mais il lui était venu en aide.
Le gui pousse très lentement et il ne possède pas de couches annuelles sur son petit tronc.

Pour connaître son âge …

Chaque année, chaque rameau produit une nouvelle ramification de deux branches égales. Pour connaître son âge, il faut compter le nombre de ramifications ou d’entre-nœuds en rajoutant la tige la plus basse. Une vieille touffe de gui peut atteindre jusqu’à soixante-dix ans.

Les feuilles du gui sont opposées et chaque feuille vit indépendamment de sa voisine. Il n’apparaît, à chaque période de croissance, qu’une seule paire de feuilles. Ce qui est unique dans le monde végétal. Épaisses, elles sont composées de deux faces semblables. Contrairement aux autres plantes, ce sont les deux côtés qui sont garnis de stomates dont les ostioles assurent les échanges gazeux.

Cette parfaite symétrie biologique des feuilles induit une autre particularité qui fait du gui un organisme à part dans le monde végétal. Et le rend indifférent à deux principes pourtant communs à toutes les espèces de plantes: le géotropisme et le phototropisme ou héliotropisme.

Cette plante est vraiment exceptionnelle !

Jean-Marie Pelt écrit  : « N’importe quel arbre, n’importe quelle herbe, venu sauvage dans les interstices d’un vieux mur, se redressera promptement et montera parallèlement à celui-ci, en quête de la lumière solaire. Tandis que ses racines s’enfonceront dans l’obscurité de la terre« .

Le gui, lui, poussera toujours perpendiculairement à la branche qui lui sert de support, horizontalement. Voire la tête en bas, selon le point où la graine s’est trouvée fixée par la glu.
Les touffes de gui sont unisexuées. Les fleurs mâles, minuscules et disposées en triades à l’extrémité des rameaux émettent des graines de pollen qui iront féconder les fleurs femelles. Qui deviendront les boules blanches que l’on connaît qui, de même que l’embryon humain, mettront neuf mois à mûrir, de janvier à octobre.

Fourmis, moucherons …

Ce sont les fourmis et les moucherons qui transporteront les grains de pollen à l’odeur de fleur d’oranger, collés à leur corps par des sécrétions gluantes, jusqu’aux fleurs femelles, elles aussi disposées par groupe de trois.
Alors commence l’aventure du bébé-gui qui n’est pas une graine, au sens botanique du terme, mais un véritable embryon à la croissance régulière et continue.

Autre singularité, la graine de gui ne se développera pas dans l’obscurité comme le font la plupart des autres graines mais à la lumière.
Le gui est une plante de l’air qui ne touche jamais le sol sous peine de disparition.

Et oiseaux.

Il passe d’arbre en arbre grâce à la grive draine qui avale les baies. Mais n’en digère que la gaine cellulosique pour larguer les graines dans ses excréments, en cordée gluantes qui augmentent les chances d’attraper une branche au passage.
Il peut être également disséminé sur place par la fauvette à béret qui colle les graines autour d’elle pour en déguster tranquillement la glu et la peau, laissant un nombre impressionnant de graines sur le même arbre.

Cet excédent qui devrait impliquer la mort de l’arbre et du gui dans la même démesure est heureusement évité fort à propos, par la mésange bleue qui est capable de broyer avec son bec puissant la carcasse qui entoure l’embryon et qui le protège contre l’attaque des sucs digestifs des oiseaux.

Les embryons rescapés germeront au printemps suivant, plus d’un an après leur conception pour perpétuer l’espèce.
C’est sans doute cette profonde singularité du gui qui a attiré l’attention des Anciens qui savaient observer la nature pour en extrapoler les signes.
Le gui ignore superbement le cycle normal des saisons, il a ses biorythmes propres. Trente mois sont nécessaires pour aller de la fleur à la maturité du fruit.

Il inverse le calendrier des saisons.

L’ouverture et la fécondation des fleurs se font en hiver, la fructification l’hiver suivant. La graine germe à la lumière et sur l’arbre. Il ignore les lois de la verticalité. Ses feuilles sont pérennes et il participe au développement de son hôte. Sa graine est un embryon à la croissance régulière et continue. Et il est capable d’intérioriser la lumière pour maintenir verts ses suçoirs dans l’obscurité du bois où ils s’enfoncent.

Autant de raisons qui font du gui une plante qui ne pouvait être que magique. Une plante qui, comme l’écrit Jean-Marie PELT, s’est libérée des contraintes ordinaires de la vie végétale et s’est arrachée aux lois et aux dépendances que subissent toutes les plantes par rapport à la terre et au soleil.
Et comment alors, pour des initiés, ne pas se sentir proche de ce rameau d’or, tout pénétré de cette lumière qu’il intériorise jusqu’au plus profond de son être.

Je terminerai ce travail en laissant la parole au gui car tel est l’enseignement du gui :

« Je suis à l’image de toi-même quand tu vas sur les Souches-Mères pour y prendre la Force que tu pressens au fond de toi être la tienne…
Et tu sauras prendre tes forces dans le tronc de l’Arbre Fort que certains nomment le Chêne. Car en ce chêne est la Force forte quatre fois que tu sauras puiser pour te transformer en Boule Blanche et transparente. Et non point en Perle colorée comme sont maints êtres humains…

La force de la sève est l’Idée et la connaissance des Racines, de la Terre, et des branches, et des feuilles, et des fruits.
Sais-tu pourquoi le druide m’approchait avec la faucille d’or ?
C’est parce que je suis un cristal de Lune : Je suis réceptacle des forces fortes du chêne et du pommier, des arbres-clés de la Force de Lumière.
Tu comprendras pourquoi je peux aider à guérir la maladie du Manque de Lumière qui tue certains êtres sur terre.
Sur mon cristal… Réfléchis. »

Les vertus thérapeutiques du gui.

Après un premier travail consacré à l’étude botanique de cette plante étrange qu’est le gui, parlons dans un deuxième temps de ses vertus thérapeutiques souvent, hélas, méconnues. Voire dénigrées ou considérées de haut par certains beaux esprits de la science officielle.

L’antique « théorie des signatures » dont s’est inspiré largement Hanhemann pour construire les bases de l’homéopathie veut qu’une plante manifeste son efficience thérapeutique par un signe visible qu’il convient de bien interpréter.
L’utilisation du gui en thérapeutique anticancéreuse découle d’une interprétation des signes visibles manifestés dans sa botanique.

La guerre des cellules commence avec la pénétration du suçoir du gui dans l’écorce de l’arbre porteur. Celui-ci développe autour du point d’implantation une sorte d’enflure. Ou pour mieux dire de « tumeur » dans laquelle l’arbre accumule des quantités impressionnantes de tanins. C’est une tumeur que l’on peut qualifier d »anti-gui ».
L’érable en particulier peut développer des déformations très importantes.

La division cellulaire …

Pour parvenir à parasiter l’arbre porteur, le gui fabrique alors des substances qui freinent la formation de la tumeur « anti-gui ». Ces substances freinent la division cellulaire de l’arbre porteur au niveau de l’implantation du suçoir. Évitant ainsi la contre attaque des cellules proliférantes riches en tanins.

La division cellulaire est caractéristique des cellules malignes. Et le gui est capable d’entraîner un arrêt des divisions anormales qui se produisent au sein des tumeurs. Il fabrique des substances antitumorales.

De plus, le gui se propage sous l’écorce par des cordons qui produiront ça et là d’autres suçoirs. Les proliférations s’allongent sous l’écorce de l’arbre comme les tentacules d’une pieuvre. A partir des nouveaux suçoirs partiront de nouvelles touffes de gui. Qui peuvent être considérées comme des métastases. Jean-Marie PELT note que les Gaulois considéraient ces touffes comme des tumeurs surgissant de l’arbre porteur.

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Le gui, plante parasite des arbres

Tumeurs, proliférations et métastases sont trois signes traditionnels du cancer.

Analogiquement, puisque le gui empêche les arbres d’être déformés par des excroissances faisant penser à des tumeurs, il devrait pouvoir empêcher l’organisme humain d’être déformé par la végétation cancéreuse. Et fabriquerait en quelque sorte un médicament contre le cancer.

Le gui est d’autre part une des plantes les plus vertes qui soient. Nulle autre plante de nos régions n’a, relativement à sa taille, autant de tissus verts que le gui. Exceptionnellement doté en chlorophylle, il est donc exceptionnellement doué pour capter la lumière.
On sait que la lumière bien dosée agit de façon bénéfique sur l’homme. Et possède un fort pouvoir bactéricide.
La grande richesse en phosphore et en magnésium du gui semble également exprimer que la plante, dans son métabolisme, peut particulièrement bien manier la lumière. En effet, le phosphore, du grec « phosphoros » est le porteur de lumière. Quant au magnésium, qui occupe la place centrale de la structure porphyrique de la chlorophylle, il est le réservoir de lumière.

Les cellules du corps humains se reproduisent d’une façon permanente.

Dans la conception classique du cancer, celui-ci est définit par le fait que des cellules au sein d’un organisme pluritissulaire échappent aux mécanismes de régulation qui assurent un équilibre entre les tissus.

La cellule cancéreuse n’obéit plus aux lois de l’homéostasie. Il semble que le système immunitaire soit impliqué dans la survenue des cancers. Ce qui explique sa fréquence chez les sujets âgés dont la fonction immunitaire est diminuée.
Pour les anthroposophes, cette vision est limitative. Et le problème du cancer n’est pas seulement un problème de cellules malignes. Mais doit être recherché dans la défaillance des formes de structuration de l’organisme devenues incapable de limiter la tendance prolifératrice des cellules.

L’organisme humain ne doit pas être considéré comme un échafaudage de cellules. Alors qu’en réalité, l’homme est un tout ordonné au sein du cosmos et qui doit toujours lutter contre l’entêtement des cellules à poursuivre leur propre vie.

Le cancer est une affection de tout l’organisme dont la cause initiale est le dérèglement de celui-ci.

C’est Rudolf STEINER qui donna en 1920 la première indication concrète sur le traitement du cancer par une préparation à base de gui.

Quels sont les phases de la maladie cancéreuse ?
La première phase est un processus psychique. Dans son livre publié en 1984, le docteur Geerd HAMER définit ce qu’il appelle « la loi d’airain ». Et qui dit que tout cancer est déclenché par un choc physique brutal. Un conflit aigu et dramatique vécu dans l’isolement, qui ne permet pas de s’en ouvrir à d’autres. Et qui continue à obséder le patient jour et nuit d’une manière durable.

De même Philippe ROUSSEAU parle de l’incapacité du candidat au cancer de s’exprimer verbalement? Celui-ci est acculé dans une impasse. Coincé entre le désir de s’accomplir, de vivre son individualité, et celui d’être comme on le lui a demandé. Afin de recevoir les signes de reconnaissance dont il a besoin.

Survient alors une seconde phase qui se manifeste par des troubles fonctionnels dont aucun n’est caractéristique.

Puis la tumeur fait son apparition. Première manifestation physique de la maladie cancéreuse. La tumeur a un caractère centrifuge. La prolifération incontrôlée des cellules voisines se limite d’abord aux tissus voisins qui sont progressivement infiltrés. Puis les cellules deviennent ensuite de plus en plus autonomes. Elles s’émancipent et se dispersent dans tous l’organisme. C’est la phase des métastases, reflet de la défaillance progressive des défenses de l’organisme.

C’est sous forme de gui fermenté que l’utilisation de cette plante est la plus fréquente. Malheureusement, à l’heure actuelle, il faut faire appel à des laboratoires étrangers pour en obtenir.
Le premier objectif du traitement est de raffermir les forces formatrices pour contrarier l’action prédominante de la matière des cellules.
Si le mode d’action du Viscum album fermenté ne peut être considérée comme une action antimitotique vraie, capable de s’opposer à la division cellulaire, son action stimule les réactions de défense de l’organisme.

Mieux résister …

Cette action sur le système immunitaire se manifeste de deux manières. D’une part par une stimulation des réactions immunologiques qui rendent l’organisme capable de résister à la maladie cancéreuse.
D’autre part, l’action du Viscum album fermenté se manifeste par un pouvoir cancérostatique lié à une action au niveau de l’information cellulaire.

Les agents carcinogènes provoquent des mutations du matériel génétique au niveau de l’ADN et de l’ARN. La cellule devient maligne et prend un caractère étranger. Et comme ce caractère n’est pas reconnu, la défaillance immunitaire s’installe.
Le gui inhibe la synthèse du matériel génétique des cellules mutantes par ses fonctions protéiniques et agit sur l’information cellulaire.

Le deuxième objectif de la thérapeutique du cancer par le gui est de stimuler tout ce qui est processus calorique dans l’homme qui est un des aspects de réactions de défense de l’organisme.

Le gui n’agit pas de façon aveugle.

Il concentre son action dans la zone tumorale et péri tumorale. Les injections de gui fermenté provoquent des réactions de type inflammatoire avec hyperémie (congestion) localisée aidant à dissoudre la tumeur grâce à ce « manteau de chaleur » qui l’enveloppe.

S’il est peut-être prématuré de voir dans le Viscum album fermenté une thérapeutique absolue contre la maladie cancéreuse, il est sans nul doute un adjuvant précieux dans le traitement.
Les préparations sont aujourd’hui une spécialité de laboratoires qui, à la suite de recherches approfondies, mélangent des guis d’hiver et d’été cueillis par des équipes de récolteurs en tenant compte de l’arbre porteur.Chaque gui peut être mélangé à des substances métalliques (argent, cuivre, plomb) qui en complètent les effets dans certains cas.

Les anciens appelaient le gui « celui qui guérit tout » et il semblerait bien que le rameau d’or qui donna la lumière à Orphée a encore bien des choses à nous apprendre.

Au gui l’an neuf …

L’expression « Au gui l’an neuf » ne serait en fait qu’une déformation de l’expression en vieux celtique « o ghel an heu » signifiant « que le blé lève« , que les Druides prononçaient au solstice d’hiver.

Note : voici les adresses des centre anti-poison de l’Hexagone.

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8 commentaires

Brieg 1 novembre 2019 - 16h54

Ça manque de référence aux sources. Hormis Le Roux et Guyonvarc’h, d’où sortent toutes ces affirmations ? Ça tombe de la lune ?

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DELEUZE DORDRON Monique 4 janvier 2020 - 3h28

INTERESSANT VOTRE ARTICLE ! Merci !

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David 17 octobre 2020 - 22h32

c’est poétique, une belle vue d’artiste, mais attention, ne pas prendre vos désirs pour des réalités: le gui n’a jamais guéri de cancer, affirmation délirante et dangereuse. C’est dommage, mais c’est comme çà…

Oui pour l’étude rigoureuse des vertus du gui, non aux croyances propagées entre autre par l’anthroposophie ou autre courant se greffant sur un néo-druidisme inspirant, mais ridicule. Lisez Steiner, et explosez de rire, ce sera la seul bénédiction que vous en tirerez. C’est du Terry Pratchett…

Amis breton, ne vous laissez pas capter par ces pseudos druides cherchant surtout…du sucre pour leur égo. L’obscurantisme est de retour, dans tout les domaines, les Lumières s’éteignent…L’âge d’or sera précédé d’un âge sombre, et nous y entrons

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Kergunner 12 janvier 2022 - 22h36

Tout à fait d’accord avec vous ! A bas les occultistes et les sectes !

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Le Gui : plante magique et porte bonheur 22 décembre 2021 - 10h58

[…] NHU Bretagne, Gui, la plante qui guérit tout […]

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Pcosquer 14 janvier 2022 - 22h59

« L’obscurantisme est de retour, dans tout les domaines, les Lumières s’éteignent… » Sell ‘ ta!
Peseurt sklerijennoù zo bet betek henn? Reoù a anevezan me eo reoù bet savet diwar soñjoù tud o speredoù strizh da vare an dispac’h bras. Ar re-se o doa graet diouzh ma voe skarzhet da vat digant an dud kement « brizhkredenn » a oa ganto sañset ; da lâret eo flastret sevennadurioù ar pobloù a-benn kont. Distruj sevennadurioù ar pobloù diazezet ker mat war an natur, just a-walc’h, en deus roet nerzh d’an akulturiñ a zo e bal pennañ kas war-raok an unvanadur dre an diorren diharz . Gant-se eo aet da netra pep liamm etre ar mab den hag an natur a oa anezhañ. Tennañ splet diouzh an natur diehan kousto pe gousto, se an hini eo… Goude bezañ arlezekaet ar pobloù direnkus ha saotret kement ar blanedenn, petra ‘ vo graet? Ur mennozh bennak digant ho sklerijenn?

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Yannick Lecerf 15 janvier 2022 - 9h46

Utracépidarianisme:
Ce seul mot qualifie l’action qui consiste à intervenir quand on a rien à dire et surtout quand on reste dans l’ignorance des dernières avancées de la recherche.
Ressasser des poncifs éculés et dénués de toutes les références historiques ne suffit pas pour apporter un quelconque crédit à des convictions sans fondements.
En prétendant défendre une identité culturelle spécifique, ces allégations qui nous cantonnent dans un folklore désuet sabotent des revendications pourtant bien justifiées .

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Bran Ruz 22 janvier 2022 - 7h58

Dommage de citer l’obscurantiste raciste Steiner.

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