interview Yes Breizh

Interview Yes Breizh : pour la dévolution en Bretagne

de NHU Bretagne

Interview Yes Breizh : un nouveau souffle pour la dévolution en Bretagne

Dans le cadre de ses interviews, NHU Bretagne a rencontré les porte-parole du mouvement Yes Breizh, qui défendent une autonomie bretonne apaisée, démocratique et responsable.

Dans un contexte où la question de l’autonomie de la Corse ou de la Bretagne refait surface, un nouveau mouvement est né : Yes Breizh. Inspiré des campagnes galloises et écossaises pour plus d’autonomie via un processus de dévolution de pouvoirs, ce mouvement breton veut redonner la possibilité à la Bretagne de prendre ses propres décisions en laissant à Paris comme le font déjà Londres, Madrid et même Berne les décisions dites régaliennes (défense, monnaie, affaires étrangères par exemple).

Ses deux porte-parole reviennent ici sur la genèse du projet, sa philosophie et ses ambitions à long terme, avec une conviction simple : le bon sens breton doit reprendre la main sur l’avenir de la Bretagne.

Pour commencer, pouvez-vous présenter Yes Breizh en quelques mots à celles et ceux qui découvrent le mouvement ?

Yes Breizh, c’est un appel au bon sens et à la responsabilité collective. C’est un mouvement jeune, responsable, positif et démocratique, inspiré des campagnes menées au Pays de Galles (Yes Cymru) et en Écosse (Yes Scotland). Ces nations ont montré qu’il est possible d’obtenir davantage de compétences politiques
par dévolution ou transfert d’un Etat central et ceci sans affrontement, simplement en convainquant par la raison, un profond sens de la démocratie et tout simplement, oui, du bon sens.

Notre ambition est claire : la Bretagne doit avoir les moyens de décider pour elle-même, de gérer son économie, sa culture, son éducation et ses politiques publiques selon ses priorités. Nous voulons une souveraineté bretonne moderne, ouverte et pragmatique, fondée sur la responsabilité et non sur les clivages et conflits exhibés à Paris comme autant de contre exemples de ce qu’il ne faut pas faire.

Peut-être certains pourraient se demander : certes, mais en quoi différent-ils des autres voix s’élevant pour demander la même chose ? La réponse est simple : nous voulons définir le processus et mettre en oeuvre ce qui est nécessaire pour ne pas parler seulement d’un objectif sans avoir identifié la méthode et les moyens pour l’atteindre. C’est ce nous appelons la dévolution de pouvoirs de Paris à la Bretagne, ceci étant lié à un  engagement pragmatique, honnête, rigoureux et donc respectueux (et donc sans populisme) pour traiter les sujets du quotidien des Bretonnes et des Bretons.

Quel a été le déclic qui vous a poussés à créer Yes Breizh ?

Le déclic est né d’un mélange de frustration et d’espérance.
Frustration, car la Bretagne reste enfermée dans un modèle centralisé qui l’empêche de se développer à son plein potentiel. Espérance, parce que nous voyons autour de nous une jeunesse, des entrepreneurs, des élus et élues et des associations prêts à inventer une autre voie.

Yes Breizh est né de cette énergie.
Nous avons voulu créer un cadre clair, transparent et positif pour rassembler celles et ceux qui croient à la dévolution bretonne. Nous pensons que l’avenir de la Bretagne se joue ici, pas à Paris. Et qu’il appartient aux Bretons de le construire, ensemble.

yesBreizh
Interview Yes Breizh un nouveau souffle pour la dévolution en Bretagne : Yes Cymru – Yes Breizh – Yes Scotland – Yes Kernow

Yes Breizh s’inspire ouvertement de Yes Cymru et Yes Scotland. Qu’avez-vous retenu de ces expériences ?

Nous avons beaucoup appris de ces deux mouvements. Leur force tient à trois éléments : la pédagogie, la constance et la bienveillance. Ils ont su convaincre sans diviser, en parlant à toutes les couches de la société. Leur communication moderne et leur enracinement local ont fait la différence.

Nous voulons suivre cet exemple à la bretonne.
Pas copier, mais adapter.
Yes Breizh veut relier le passé et l’avenir, la mémoire et l’innovation.
Comme eux, nous croyons qu’une dévolution bretonne réussie doit venir d’un mouvement, d’une dynamique ancrée socialement et culturellement dans le pays.

Vous parlez souvent de « dévolution » plutôt que d’« indépendance ». Quelle nuance y voyez-vous ?

La dévolution est un processus à engager de manière concrète, réaliste et accessible.
Elle consiste à transférer à la Bretagne des compétences aujourd’hui exercées par l’État central, dans des domaines essentiels comme l’économie, l’énergie, la santé ou l’éducation. C’est un moyen de rapprocher la décision du terrain, sans remettre en cause le cadre national.

Nous ne sommes pas dans une logique de rupture, mais d’évolution.
L’indépendance bretonne, si elle devait un jour être envisagée, ne pourrait être que le fruit d’un choix démocratique clair.
Pour l’heure, la priorité est de rendre la Bretagne autonome et responsable, capable d’agir efficacement sur les sujets qui la concernent.

Quel rôle Yes Breizh souhaite-t-il jouer dans le débat public breton ?

Notre rôle est d’apporter une parole claire et documentée.
Yes Breizh n’est pas un parti politique, mais un mouvement de proposition, indépendant et responsable.
Nous voulons produire des analyses, formuler des idées et ouvrir des perspectives sur la politique (au sens noble) bretonne.

Notre but est de remettre la Bretagne au cœur du débat public.
Nous ne cherchons pas la confrontation mais la cohérence : faire comprendre que la dévolution n’est pas une revendication identitaire, mais une exigence de bonne gouvernance. Bien sûr, si nécessaire, Yes Breizh saura devenir un mouvement de pression démocratique, pour défendre les intérêts de la Bretagne, dans le respect des institutions.

YesBreizh
Yes Breizh

Beaucoup de Bretons se sentent attachés à leur région, mais peu osent parler d’autonomie. Comment comptez-vous changer cet état d’esprit ?

Nous devons avant tout expliquer.
Parler d’autonomie bretonne, ce n’est pas remettre en cause la France, c’est vouloir mieux gérer nos affaires locales, avec nos compétences et nos valeurs. C’est aussi une manière de rétablir la confiance entre les citoyens et les institutions.

La Bretagne a toujours été une terre d’initiative.
Nous voulons réveiller cet esprit de responsabilité et de liberté. Quand les Bretonnes et les Bretons verront qu’une dévolution réussie permet d’améliorer les transports, la santé, l’éducation ou la culture, le soutien viendra naturellement.
La clé, c’est de montrer que l’autonomie, c’est du concret, pas du rêve.

Votre démarche semble à la fois très sérieuse et très moderne, avec un ton positif et des visuels percutants. Est-ce un choix assumé ?

Oui, pleinement.
La Bretagne moderne mérite une communication à son image : claire, dynamique et ouverte sur le monde.
Nous voulons rompre avec le ton gris, à la fois déprimant et moralisateur de la politique traditionnelle.

Yes Breizh parle d’avenir, pas de nostalgie.
Nos visuels, nos couleurs et notre ton reflètent cette confiance. Nous assumons une communication joyeuse et professionnelle, parce que la Bretagne a besoin d’espérance. La jeunesse bretonne doit sentir qu’elle a un rôle à jouer, et que ce mouvement lui appartient aussi.

Comment Yes Breizh fonctionne-t-il concrètement ? Est-ce un mouvement ouvert à tous ?

Oui, absolument.
Yes Breizh est une association loi 1901 à but non lucratif, ouverte à toutes celles et ceux qui veulent agir pour la Bretagne. Nous fonctionnons de manière collégiale, avec un bureau resserré et un réseau d’adhérents dans les cinq départements bretons.

Notre gouvernance repose sur la transparence et la concertation.
Chacun peut s’impliquer selon ses compétences : communication, recherche, traduction, événementiel, relations locales.
Nous ne sommes pas une structure partisane, mais un mouvement responsable, au service du bien commun et
soucieux de la construction d’un meilleur avenir pour la Bretagne.

La question de l’immigration divise beaucoup en France. Quelle approche Yes Breizh propose-t-il pour la Bretagne, entre solidarité et responsabilité ?

La Bretagne doit rester fidèle à son identité d’ouverture, tout en affirmant sa responsabilité collective.
Nous pensons que l’accueil doit être humain, réfléchi et adapté.

L’immigration ne peut pas être gérée uniquement depuis Paris.
Une Bretagne bénéficiant de la dévolution de pouvoirs concernant ce sujet aurait la capacité d’élaborer ses propres politiques d’intégration, fondées sur la participation, la culture et la langue. L’apprentissage du breton et l’implication dans la vie locale seraient des leviers d’inclusion. Il ne s’agit pas de rejeter, mais d’intégrer intelligemment, en respectant nos valeurs et notre cohésion.
Que les immigrés en Bretagne viennent des Comores, du Royaume uni ou … de Paris, il faut en faire des Bretonnes et des Bretons !

Quels sont vos premiers objectifs à court terme ? Et vos ambitions à plus long terme ?

À court terme, notre priorité est de consolider la structure du mouvement : finaliser le site internet, développer la communication, lancer les premières campagnes publiques et fédérer nos premiers adhérents.
Pour cela, nous organisons une campagne de financement participatif sur la plateforme reconnue Hello Asso.
Vous pouvez nous soutenir également via ce QR code dédié et adhérer à Yes Breizh :

adhésion et soutien à Yes Breizh
adhésion et soutien à Yes Breizh

Puis à moyen terme, nous souhaitons produire des dossiers thématiques sur les grands enjeux bretons : énergie, mer, agriculture, éducation, environnement, économie. À long terme, nous visons à peser dans le débat public breton comme une voix crédible et respectée, capable d’influencer positivement la politique bretonne.

Nous voulons que, dans cinq ans, la dévolution soit perçue comme une évidence, pas comme une utopie.

Quelle place donnez-vous à la langue bretonne et à la culture dans votre projet politique ?

La langue bretonne et la culture bretonne sans oublier son histoire  sont le socle de tout projet culturel, politique et bientôt économique en Bretagne comme le font de leur côté les estoniens, les flamands, les suisses etc. 

Langue, culture, connaissance de l’histoire ne sont pas des facteurs de division mais d’unité.
Nous voulons les replacer au cœur du quotidien, dans les médias, les écoles, les entreprises.

Tout particulièrement la langue bretonne (mais aussi le gallo), est la clé de la transmission et de la fierté. La culture, c’est le moteur du lien social et de l’innovation. Nous voulons une Bretagne bilingue comme aux Pays Bas, au Danemark, en Norvège etc … une Bretagne confiante et tournée vers l’avenir.
Une Bretagne qui assume son identité pour mieux dialoguer avec le monde.

Dans une Bretagne souvent oubliée par Paris et Bruxelles, quelle voie proposez-vous pour exister pleinement ?

Nous voulons une Bretagne forte et responsable, qui parle d’égal à égal avec les autres nations européennes. Cela passe par une dévolution réelle : un contrôle local des budgets, des ressources, de la fiscalité, et une représentation directe à Bruxelles, en relation avec la représentation française.

Nous refusons la marginalisation et la dépendance.
La Bretagne a tous les atouts pour devenir un modèle européen d’autonomie réussie : maritime, écologique, innovante et solidaire. Il est temps qu’elle en ait aussi les moyens économiques et politiques.

Enfin, que diriez-vous aux jeunes Bretons et Bretonnes qui doutent que les choses puissent changer ?

Nous leur dirions que rien ne changera sans eux, mais qu’avec eux, tout devient possible.
La jeunesse bretonne porte l’avenir de ce pays. C’est à elle d’imaginer une Bretagne libre et confiante, fidèle à son histoire mais tournée vers demain.

Yes Breizh, c’est une invitation à agir.
A agir, oui avec peut-être la tête dans les étoiles (il faut pouvoir s’autoriser à rêver) mais en gardant les pieds sur terre pour avancer.
Rejoindre ce mouvement, c’est participer à une aventure collective et responsable : redonner à la Bretagne sa voix, son pouvoir, et son avenir.

À propos de Yes Breizh

Yes Breizh est un mouvement breton de réflexion et d’action né en 2025. Inspiré de Yes Cymru au Pays de Galles et de Yes Scotland, il milite pour une dévolution en Bretagne et une autonomie bretonne responsable.

Au-delà des partis politiques, Yes Breizh se veut un mouvement de proposition ouvert à toutes et à tous, dans les cinq départements bretons.

Son objectif est de replacer la Bretagne au cœur des décisions, de promouvoir la langue et la culture bretonnes, et de construire un modèle politique moderne fondé sur la proximité, la démocratie et la responsabilité.


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8 commentaires

Anne Merrien 18 octobre 2025 - 17h25

Et comment ce mouvement compte-t-il œuvrer pour la Réunification ??

Répondre
nhu Bretagne nhu Brittany
NHU Bretagne 19 octobre 2025 - 10h23

Bonjour Anne, et merci de votre commentaire. Nous leur transmettons votre demande.

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Penn kalet 18 octobre 2025 - 18h23

Kalon vat deoc’h med, lakaed Ya Breizh kentoc’h

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Yannig Louis Mahé 19 octobre 2025 - 17h00

Paris perçois l impôt des breton y prélève 20 % pour frais de gestion pour payer des fonctionnaires parisien souvent «  repoublicains «  et décide à la place des bretons ce qui sera fait de cet argent sous le contrôle du préfet représentant de l enarchie parisienne lui même fonctionnaire à vie sélectionné à 21 an sur un concours national ou issu d une promotion dans un grand corps de l état en quoi les bretons sont ils représentés dans l utilisation de leur argent et dans l exécution du budget provenant de leurs impôts ?
Sous le règne du duché de Bretagne intégré de force à la France par François premier les finances et les décisions judiciaires dépendaient du parlement de Bretagne finalisé à Rennes et dont la carte judiciaire bretonne a 5 départements représente la géographie du duché de Bretagne de l époque de sa souveraineté dernière duchesse en demi liberté Anne de Bretagne deux fois reine de France trahie par François Premier en épousant sa fille Anne de France et non respectueux du traité d union ne faisons jamais confiance aux envahisseurs francs ils sont Côme les angles et les pi sués des barbares conquérants assoiffés de pouvoirs par les armes ou par le viol et le mariage forcé souvent avec la complicité du pape qui a pourtant reconnu la Bretagne comme nation lui a attribué un drapeau le cross du pour participer auprès de St Louis à la libération de Jérusalem et François premier et ses successeurs sont des traités non respectueux du traité de succession du duché de Bretagne et la révolution française est venue interrompre la révision du procès en succession
Pour une bretagne moderne retrouvons la souveraineté bretonne confisquée et en s appuyant sur la carte judiciaire bretonne recréons le parlement de Bretagne en fusionnant les institutions départementales et régionales pour gérer les impôts bretons pour la culture l économie l éducation voir la sécurité en dehors de La Défense de la monnaie et des principales fonctions régaliennes de l état français auquel a été intégré la Bretagne depuis Francois premier
Yannig Louis Mahé e bro gwerann e bro mitaw e Roch Bernez

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GR 19 octobre 2025 - 18h52

Tout nouveau tout beau, j’ai adhéré. Mais si on gratte un peu, vous pouvez retrouver le programme: en p 24  » remédier aux injustices subies par le personnes d’origine étrangère, les communautés LGBTQIA+ » ça pue non ? Allons voir au JO, répertoire SIRENE, et RNA: On retrouve en gros un but de transmission de la culture et de l’histoire, mais on y trouve en réalité une asso a but lucratif 91.02Z gestion de musées. Vérifiez par vous mêmes !

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Yes Breizh 19 octobre 2025 - 21h18

Bonsoir GR.
Et merci de compter parmi les dizaines de premiers adhérents en quelques jours.
Le Levrig 2025 compte une quarantaine de pages, et une seule phrase en page 24 vous incommode ?
Cette phrase n’est pas « LE programme » de Yes Breizh comme vous l’écrivez, c’est juste une phrase qui vous dérange sur près de 40 pages.
Vous avez parfaitement le droit de ne pas être d’accord avec cette phrase, soit 0,5% du Levrig; mais que pensez-vous des 99,5 autres pourcents ?
Et non, Yes Breizh n’est PAS une asso » à but lucratif ».
Extrait des statuts :
« L’association Yes Breizh a pour objet de favoriser la connaissance, la transmission et
la valorisation de la culture, de l’histoire, du patrimoine et des réalités économiques
de la Bretagne historique, vers un public large, et si possible jeune. »
L’association exerce ses activités sans but lucratif, dans une logique de gestion
désintéressée, et dans l’objectif d’agir pour l’intérêt général. »
S’il vous plaît GR, soyez plus précis dans vos assertions.

Si vous avez adhéré, nous pouvons supposer que la Bretagne, votre pays, notre pays, vous est cher, et que comme nous, vous lui souhaitez un autre avenir. Nous pouvons supposer alors que nous devons être d’accord sur la grande majorité des sujets de notre quotidien en Bretagne … sauf celui que vous soulevez. Le succès de la Bretagne et celui de Yes Breizh résident dans la faculté des Bretonnes et des Bretons à se retrouver sur la partie pleine du verre que nous avons en commun, au-delà des clivages habituels, pour la plupart franco-français; mettant de côté, au moins pour l’instant, la partie vide du verre des quelques sujets qui nous séparent.
Nous ne sommes pas un parti politique.
Diviser pour régner ne devrait pas nous concerner, d’autres s’en chargent.
Pour terminer notre réponse, nous nous inspirons des mouvements gallois Yes Cymru, écossais Yes Scotland et cornouaillais Yes Kernow; avec qui nous sommes en relation.
Encore merci et n’hésitez pas à nous contacter via darempred@yesbreizh.bzh
Trugarez deoc’h

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Yes Breizh 19 octobre 2025 - 20h47

Pour vous adresser directement à Yes Breizh à propos de cet interview ou pour toute autre question, une seule adresse : darempred@yesbreizh.bzh
Trugarez deoc’h

Répondre
GR 22 octobre 2025 - 11h34

Bonjour, et merci pour cette réponse. Malheureusement bien d’autre points me gênent dans le document intitulé programme. La P24 à elle seule résume la situation. Comme une bonne partie de l’emsav, ce beau projet est lui aussi contaminé par les valets du progressisme dépravé, nourri par les bontés de l’argent roi qui organise la mort de notre civilisation, de nos coutumes, de nos valeurs, de notre religion qui fait notre Bretagne, ce sera sans moi. Pour le reste, si le classement Sirène n’est pas de votre fait, rectifiez rapidement !
Kenavo

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