Monsieur Loïg Chesnais, président du Conseil Régional de Bretagne administrative, qui Lui, ne manque pas de souffle, a rappelé l’objectif du… Souffle breton – créé en 2021 – lors de son discours concluant la matinée de réflexion qui s’est déroulé le mois dernier à Saint-Brieuc / Sant Brieg.
Nourri à la substantielle moëlle du bon peuple, il souhaite, dit-il, rassembler des femmes et des hommes ayant « envie de débattre pour construire la société, penser l’avenir de la Bretagne, de la République et de l’Union européenne en dehors des périodes électorales ».
Un jacobin modéré soumis au pouvoir central peut-il, #EnMemeTemps, se prétendre « autonomiste » ?
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Cela alors qu’Il l’est lui-même, en permanence, depuis 1995…
Ce qui démontre sa grande faculté à endosser le costume d’Arlequin et son peu de respect pour les citoyens, est qu’il a également cité un extrait de « L’odeur de l’essence » du rappeur Orelsan en déclarant que :
« Cette phrase résume tout et doit nous poser absolument question. Nous dire que la vie politique actuelle montre son plus mauvais visage et ne répond pas aux préoccupations des citoyens. Nous devons travailler sans relâche afin de construire des nouvelles idées et pas recycler les recettes de 1936, 1981… Il faut penser le monde avec les yeux d’aujourd’hui. »
Il serait sans doute temps que Monsieur Loïg Chesnais Girard prenne, au minimum, rendez-vous chez un ophtalmologiste et relise les envois adressés par l’association citoyenne Blanc C’est Exprimé.
En effet, cette dernière, ne sait pas faire une critique si, dans le même temps, elle n’est pas en capacité de présenter une proposition.
Cela pour améliorer la Démocratie, qui est devenue, « défaillante en France»
Malheureusement, ce jacobin « pur sucre » – ancien banquier, défenseur de la financiarisation de l’économie, n’a jamais réagi, ni surtout, « agi » depuis des années.
« Il se sert de la Bretagne, Il ne la sert pas »
L’illustration qui figure sur la couverture de son livre le démontre : « ses regards et ses espoirs vont vers PARIS… »
Il est vrai comme le disait Edgar Faure : « Ce n’est pas la girouette qui tourne, c’est le vent… »
